Salle 200
> Réponse de Juan Gris : "C’est la règle qui doit corriger l’émotion"
Salle 200
Au XVIIe siècle, les peintres Nicolas Poussin (1594-1665) et Claude Lorrain (v 1602-1682) contribuent à créer un mode de représentation du paysage qui va s’imposer pour plusieurs générations comme un idéal de perfection. Les artistes perpétuent jusqu’au milieu du XIXe siècle cette tradition classique. Selon celle-ci, la nature ne saurait être reproduite avec une fidélité objective mais recomposée et idéalisée. Elle doit être animée de personnages et de constructions, servant de cadre à une scène tirée de la mythologie ou de l’histoire antique, porteuse d’un sens moral.
Afin de créer leurs paysages, les peintres procèdent à des études de morceaux de nature (arbres, rochers, bâtiments, nuages et ciels) qui constituent pour eux un répertoire de motifs. Dès le XVIIe siècle, des témoignages attestent de tels travaux menés par certains d’entre eux hors de leur atelier, face à la nature. À compter des années 1780, cette pratique se généralise à travers toute l’Europe, impulsée en France par la personnalité et les écrits théoriques de Pierre Henri de Valenciennes (1750-1819).
Cet artiste, dont l’enseignement à l’École des Beaux-Arts de Paris va former toute une génération, est l’auteur d’un traité paru en 1800, Éléments de perspective pratique à l’usage des artistes. Cet ouvrage souligne l’importance pour tout peintre de se livrer à de nombreuses études sur le motif afin de se former à la représentation des éléments naturels, des phénomènes météorologiques et de la lumière.
Il n’est pas alors question de traiter ces esquisses, réalisées rapidement, comme des œuvres à part entière, mais bien comme des documents de travail demeurant dans l’atelier. Elles ont pour finalité de constituer un répertoire formel destiné à être recomposé dans des œuvres plus ambitieuses selon les règles classiques.
Parallèlement aux œuvres d’inspiration classique, un autre courant s’affirme dans la peinture de paysage au tournant des XVIIIe et XIXe siècles, s’inspirant plutôt de l’exemple des maîtres nordiques du XVIIe siècle comme Jacob van Ruisdael (v 1628-1682), Meindert Hobbema (1638-1709), Aelbert Cuyp (1620-1691) ou Paulus Potter (1625-1654), très appréciés à cette époque par les collectionneurs.
Les scènes représentées sont animées par des personnages rustiques, paysans ou bergers, dans une nature au caractère champêtre. Bien que plus naturalistes en apparence et travaillés eux aussi à partir d’études sur le motif, ces paysages n’en sont pas moins recomposés en atelier selon un mode pittoresque, n’offrant qu’un écho plus ou moins fidèle de sites réels.
Parmi les artistes attachés à cette tradition nordique s’impose l’œuvre particulièrement original et personnel de Georges Michel (1763-1843), présent dans cette exposition par un ensemble important, représentatif des différentes phases de son travail. Le peintre multiplie les vues inspirées par les paysages d’Île-de-France qu’il parcourt durant toute sa carrière. Marqué par les artistes hollandais, qu’il copie pour les marchands et les amateurs, il s’inscrit dans leur héritage par sa thématique et ses compositions.
Les ciels d’orage, les nuages de pluie, les coups de lumière, les carrières crayeuses au relief accidenté constituent les éléments marquants de son vocabulaire, associés à une facture enlevée et énergique. La silhouette récurrente d’un moulin ou d’une ville lointaine dont se distingue un clocher, tout comme parfois quelques frêles personnages, affrontent la puissance de la nature.
L’apparition d’une clientèle d’amateurs, appréciant particulièrement la spontanéité de l’étude en plein air, favorise l’évolution de cette pratique. La naissance de ce nouveau marché bouscule le statut de ces réalisations qui, d’abord simples exercices formels, acquièrent à partir des années 1820 une position plus hybride.
L’accroissement de la demande engendre leur multiplication, ainsi que leur répétition en atelier. Plusieurs artistes effectuent la démarche de présenter des études dans le cadre d’expositions. Leur liberté de facture contribue à une évolution du regard du public sur la notion de « fini ».
Nombre de ces études sont réalisées lors des voyages effectués par les artistes, en particulier à travers l’Italie. Cette destination majeure de la culture classique, appréciée pour ses monuments antiques ou de la Renaissance et ses paysages chantés par les poètes, demeure alors une destination incontournable dans un parcours de formation. Il s’agit non seulement de se constituer par des études un répertoire de souvenirs des motifs vus, mais aussi d’une production destinée à financer le séjour du peintre. Si ces réalisations s’intéressent d’abord et surtout aux sites majeurs, comme Rome ou Tivoli, elles donnent aussi à voir de simples fragments de campagne ou de nature, sans caractère pittoresque.
Expérience fondamentale pour tous, le voyage en Italie offre une atmosphère d’émulation entre artistes venus de toute l’Europe.
Dans les années 1820, Camille Corot, Théodore Caruelle d’Aligny, André Giroux, Raymond Brascassat travaillent ainsi en commun et initient leurs confrères peintres d’histoire ou de genre à la pratique du paysage. Ces séances sur le motif, dans la campagne romaine, leur apportent une sensibilité à la lumière et au rendu atmosphérique qui marque profondément leur orientation artistique.
Dès les premières années du XIXe siècle les artistes se lancent à la découverte des campagnes françaises. Ils entreprennent d’en représenter des sites pourtant dépourvus de tout pittoresque, sur lesquels ils portent un nouveau regard et dont ils font le sujet de leurs études et de paysages composés. Ces lieux inédits vont peu à peu s’imposer comme motifs incontournables.
Les sites retenus sont d’abord les plus familiers. Parmi les premiers, Jean Victor Bertin dépeint ainsi avec un regard naturaliste la campagne aux environs de Paris. La forêt de Fontainebleau devient le lieu de travail d’une véritable colonie artistique dont font écho dans l’exposition les œuvres d’Auguste Lapito et Victor Dupré. Autour de Lyon, Adolphe Appian et Auguste Ravier travaillent sur le motif aux côtés de Camille Corot à Crémieu, Morestel et Optevoz. Le Suisse Alexandre Calame se consacre à la représentation des Alpes, tout comme le Dauphinois Jean Achard. Naissent ainsi des écoles régionales, à Lyon ou en Provence. Certaines régions deviennent également des destinations de voyage appréciées pour leur variété de motifs, comme la Normandie, la Bretagne ou les Pyrénées.
La finalité de ces travaux demeure multiple selon la démarche de chaque artiste. Fidèle à la tradition classique, Camille Corot réalise une étude de l’entrée du port de La Rochelle qui lui permettra la création en atelier d’une composition plus ambitieuse. D’esprit romantique, Paul Huet ou Théodore Gudin chargent leurs ciels d’orages. De manière générale, ces œuvres présentent une évolution de plus en plus marquée vers un naturalisme et une liberté de facture. Elles révèlent une sensibilité à l’atmosphère et une attention portée à la palette, qui les conduit, chez Paul Guigou et Eugène Boudin, aux prémices de l’impressionnisme.
Exposition non accessible aux personnes à mobilité réduite.
Né à Grenoble en 1922, Jacques Truphémus s'installe à Lyon dès 1942. Il y fréquente le musée des Beaux-Arts où il découvre notamment les peintures des artistes Pierre Bonnard et Édouard Vuillard. Il en retient une sensibilité particulière à la lumière et ses effets, qu’il ne cessera alors d’explorer et de chercher à traduire, par l'exploration de nuances de blancs comme par le traitement de la couleur.
Ses œuvres les plus récentes, réalisées lors de ses retraites estivales dans les Cévennes, témoignent d'une liberté et d'une vitalité nouvelle. L’artiste, qui déclinait davantage les teintes sourdes, privilégie plus tard une palette aux tonalités plus vives, dans des compositions où l’architecture s'efface au profit d'une végétation luxuriante.
Jacques Truphémus confie au sujet des artistes de la collection du musée qui l’ont marqué : « Ils forment une famille, à laquelle j’espère humblement appartenir. » Le dialogue instauré entre leurs œuvres a permis d’évoquer cette filiation.
Liste des œuvres exposées :
Papiers, 1980, huile sur toile
Nature morte au pot vert, 2013, huile sur toile
Paysages Cévennes, 2013, huile sur toile
Terrasse à Cauvalat, 2013, huile sur toile
Le parc des châtaigniers au Vigan, 2013, huile sur toile
Terrasse au Cauvalat, 2013, huile sur toile
Cévennes, ciel bleu, 2013, huile sur toile
Au Café, 1975 , huile sur toile
La Verrière de l'atelier, 1977 , huile sur toile
À l’occasion du centenaire de l’Exposition internationale urbaine de 1914, le musée des Beaux-Arts s’associe aux musées Gadagne à travers la présentation d’un choix d’œuvres de l’architecte Tony Garnier (1869-1948). En 1917, ce dernier publie Une cité industrielle, ouvrage fondateur de l'urbanisme au XXe siècle qui, pour la première fois, projette la construction d’une ville entièrement en béton.
Salle des pastels, 2e étage du musée
Grand prix de Rome d’architecture 1899, Garnier se voit confier par Édouard Herriot, nouvellement élu maire de Lyon en 1905, sa première commande d’envergure : les abattoirs du quartier de La Mouche au sud de la ville (actuelle Halle Tony Garnier, 1906-1928). En 1914, cet ensemble, alors inachevé, accueille l’Exposition internationale, trois ans avant la publication d’Une Cité industrielle, qui en reprend l’organisation rationnelle. La toiture à degrés de la grande halle des abattoirs, modèle de construction métallique de grande ampleur, est ainsi reprise dans la Vue des chantiers de constructions navales.
Précurseur de l’architecture et de l’urbanisme contemporains, Garnier s’est également illustré en matière d’arts décoratifs et d’aménagements intérieurs, comme en témoigne ci-dessous la Vue de la villa de l’architecte à Saint-Rambert (Lyon, 1910-1912). Le jeu volumétrique des sièges en béton recouvert de céramique, comme l’intégration du mobilier aux murs, constituent alors les caractéristiques d’une construction moderne. Garnier compte ainsi parmi les figures majeures de l’architecture européenne du début du XXe siècle, aux côtés des avant-gardes viennoise ou allemande, qui poseront les fondements d’une architecture rationnelle et géométrique, à laquelle le béton armé offrira ses potentialités techniques et plastiques.
1- Jeanne Bardey, Tony Garnier, Vers 1932, Bronze, Acquis de l’artiste, 1932
2- Tony Garnier, Une cité industrielle : vue des chantiers de constructions navales, 25 mai 1917, Tirage sur papier rehaussé d'aquarelle et de gouache, Don Madame Garnier, 1952
3- Tony Garnier, Une cité industrielle : vue de la terrasse sur la vallée, 31 novembre 1917, Tirage sur papier rehaussé d'aquarelle et de gouache, Don Madame Garnier, 1952 Inv. 1952-35
4-Tony Garnier, Une cité industrielle : vue des hauts fourneaux, 3 juillet 1917, Tirage sur papier rehaussé d'aquarelle et de gouache, Don Madame Garnier, 1952
5- Tony Garnier, Une cité industrielle : vue d’ensemble des services sanitaires, 30 novembre 1917, Tirage sur papier rehaussé d'aquarelle et de gouache, Don Madame Garnier, 1952
6- Tony Garnier, Une cité industrielle : vue du barrage 30 novembre, 1917, Tirage sur papier rehaussé d'aquarelle et de gouache, Don Madame Garnier, 1952
7- Tony Garnier, Projet d’aménagement du confluent Saône-Rhône, 26 mars 1924, Tirage sur papier, Versement du musée Guimet de Lyon, 1969
8- Tony Garnier, Marché aux bestiaux et abattoirs de Lyon, 21 septembre 1917, Tirage sur papier, Don anonyme, 1982
9- Tony Garnier, Villa de l’architecte à Saint-Rambert : étude pour la cheminée de la chambre à coucher, 14 janvier 1922, Crayon et fusain sur papier calque, Versement du musée Guimet de Lyon, 1969
10- Tony Garnier, Bourse du travail : projet d’une salle de séances, 25 septembre 1922, Crayon et encre sur papier calque, Don Madame Garnier, 1952
11- Tony Garnier, Vue de Rome : la Villa Médicis, 10 juin 1903, Aquarelle, crayon et gouache sur papier, Don Madame Garnier, 1952
Cette présentation rend hommage à la générosité du collectionneur lyonnais André Dubois (1931-2004) qui consentit au musée des Beaux-Arts de Lyon un legs venant enrichir considérablement ses collections d'art moderne. Avec plus de vingt-quatre peintures et vingt-sept œuvres graphiques, le musée possède l'ensemble le plus complet dans les collections publiques françaises d'œuvres d'Albert Gleizes et de ses disciples.
Salle 200 - 2e étage du musée, entrée des collections XXe
Après une formation artistique à Lyon et à Bourges, André Dubois rencontre en 1951 les peintres Albert Gleizes et Juliette Roche-Gleizes. L'année suivante, il séjourne à Moly-Sabata (Isère), sur les bords du Rhône, siège d’une confraternité d'artistes réunie par Gleizes en 1927. La fréquentation directe de cette communauté fait d’André Dubois un véritable « connaisseur » de leur art, un « œil » au sens le plus fort du terme. Au début des années 1970, il devient ainsi l’un des rares spécialistes français d'Albert Gleizes et de ses disciples Robert Pouyaud, Jean Chevalier, Paul Regny ou encore Andrée Le Coultre, qu’il collectionne assidûment.
Son goût pour le cubisme et ses héritiers n'empêche cependant pas André Dubois de porter son regard sur d'autres œuvres. L’ensemble légué au musée des Beaux-Arts de Lyon témoigne du goût et des centres d’intérêt d’un collectionneur peu conventionnel qui fait voisiner les toiles de Gleizes avec celles d’artistes plus marginaux : Christian d'Orgeix, Max Schoendorff, Philippe Dereux, Claude Bellegarde ou Fleury-Joseph Crépin.
André Dubois, Sans titre, 1960
André Dubois, La grande cascade près de Tlemcen, vers 1960
Phillipe Dereux, Le bouquet de fête, 1967
Phillipe Dereux, L’arbre rouge, 1963
Phillipe Dereux, La rose des vents, 1964
Phillipe Dereux, Les interdictions, 1961
Joseph-Fleury Crépin, Tableau merveilleux, 1948
Joseph-Fleury Crépin, Sans titre (n°227) Composition, 1944
Claude Bellegarde, Histoire de l’œil, 1967
Andrée Le Coultre, La coiffure Composition
Jean Chevalier, Développement mélodique, 1955
Robert Pouyaud, Métaphysique, 1946
Albert Gleizes, Arabesque, 1951
Juliette Roche-Gleizes, Le Porron, 1916
Juliette Roche-Gleizes, Fleurs dans un verre, avant 1920
Albert Gleizes, Terre et ciel, 1935
Albert Gleizes, Figure, 1921
Albert Gleizes, Composition, 1933
Albert Gleizes, Figure dans un arc-en-ciel, 1934
Albert Gleizes, Lumière, 1932
André Dubois, Octogone informel, 1960
Paul Regny, Lenteur, 1964
À l’occasion de l’acquisition de la sculpture Hommage à Brown (1988-1990) grâce à la générosité du Cercle Poussin, à la participation de la Ville de Lyon et du F.R.A.M., le musée des Beaux-Arts rend hommage à Étienne-Martin (Loriol, 1913 – Paris, 1995), figure majeure de la sculpture du XXe siècle. Un parcours ponctuant la collection d’art moderne présente quinze œuvres de l’artiste, issues pour la plupart de donations récentes et de prêts de collectionneurs particuliers.
Parcours dans la collection du XXe siècle – Deuxième étage du musée
De La Sauterelle (1933), grand nu emblématique des années de formation, à Ecce Homo (1993), l’œuvre de l’artiste est représenté dans toute son étendue chronologique. Il témoigne, sculpture après sculpture, des enjeux de son temps, érigeant en 1945 une Pietà en écho à la libération des camps, opposant en 1983 la petite forme ludique du Nautilus à la course généralisée à l’armement, ou investissant l’espace public avec des sculptures abstraites et des éléments d’architecture.
Récompensé par de nombreux prix nationaux et internationaux, Étienne-Martin s’inscrit dans l’histoire de l’art du XXe siècle par la liberté dévolue au matériau employé et par la diversité de ses inspirations : ainsi, Hommage à Brown, acquis récemment par le musée des Beaux-Arts de Lyon, grâce au mécénat du Cercle Poussin, associe la forme d’un totem, empruntée à d’autres civilisations, à des surfaces peintes caractéristiques de la sculpture moderne, de Gaston Chaissac à Georg Baselitz. Dans le parcours est également présentée une œuvre de Jacques Brown, en écho à Hommage à Brown : Étienne-Martin ou le génie écrasant les envieux, les âmes et la médiocrité. L’œuvre est un hommage fantasmé de Brown à Étienne-Martin, qui avait découvert et soutenu son travail dès les années 1950 et qui fut l’un de ses amis les plus proches.
Le prêt de quelques-uns des dessins diagrammatiques d’Étienne-Martin, conçus comme les pages d’un livre, fascinants par leur format, par leur complexité, complète ce parcours qui fait suite à l’exposition L’Atelier d’Étienne-Martin , présentée au musée du 22 octobre 2011 au 23 janvier 2012. Les œuvres du parcours consacré à Étienne-Martin sont exposées dans les différentes salles de la collection d’art moderne.
Le musée des Beaux-Arts de Lyon et la Fondation Bullukian font, pour la première fois, dialoguer leurs collections à travers la présentation de dix-sept œuvres d’artistes modernes et contemporains.
Bâtisseur et industriel, Napoléon Bullukian (1905-1984) fut aussi collectionneur et mécène et manifesta un profond attachement au musée des Beaux- Arts de Lyon. La commémoration du 30e anniversaire de sa disparition est l’occasion de réaffirmer l’importance et l’actualité des collaborations entre les acteurs de la vie culturelle lyonnaise et de rappeler le généreux soutien de la Fondation Bullukian au musée des Beaux-Arts de Lyon pour la nouvelle édition du guide de ses collections à paraître fin octobre.
Depuis sa création en 1985, la Fondation Léa et Napoléon Bullukian soutient la recherche dans le domaine de la santé, les œuvres sociales arméniennes, mais également la création artistique par le biais d’expositions et de mécénat.
Aux côtés des artistes rhônalpins André Cottavoz (1922-2012), Jean Couty (1907-1991), Max Schoendorff (1934-2012) et Jacques Truphémus (né en 1922), cet accrochage met également à l’honneur la jeune création avec des œuvres de Jérémy Gobé (né en 1986) et Linda Sanchez (née en 1983), lauréats des Prix Bullukian 2011 et 2013. Cette dernière est par ailleurs présentée à la Fondation Bullukian qui lui consacre sa première exposition personnelle autour du projet Incidents de surface, du 10 octobre au 27 décembre 2014.
Le nouveau Guide des collections du musée des Beaux-Arts de Lyon
Cet ouvrage est publié fin octobre 2014, avec le soutien de la Fondation Bullukian par Fage éditions. Il compte 250 notices réparties en 6 sections selon l’articulation des collections et livre les clés pour apprécier la richesse exceptionnelle des collections du musée des Beaux-Arts de Lyon.
Salle 200, Collections du XXe siècle
Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés.
Salle des Pastels - 2e étage du musée