Une nouvelle proposition à l'humeur vagabonde pour voyager le temps d'une courte visite.
Entrée au musée + 2€
Durée de la visite : 30 minutes
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Durée de la visite : 30 minutes
Venez découvrir le musée autrement. Une visite courte pour tous les publics.
3€ / 1€ + entrée au musée
(11€ billet couplé plein tarif)
Durée de la visite : 30 minutes
Pour la première fois, l’exposition Zurbarán. Réinventer un chef-d’œuvre se propose de réunir, du 5 décembre 2024 au 2 mars 2025, les trois tableaux représentant Saint François debout momifié peints par Francisco de Zurbarán, conservés respectivement au musée des Beaux-Arts de Lyon, au Museu Nacional d’Art de Catalunya (MNAC) à Barcelone et au Museum of Fine Arts de Boston. La confrontation aussi inédite que spectaculaire des Saint François de Lyon, Barcelone et Boston formera le cœur de l’exposition, les infimes variantes entre ces trois versions permettant d’éclairer le sens de chacune d’elles.
Le sujet des tableaux de Lyon, Barcelone et Boston participe de leur singularité, au même titre que leur exécution magistrale. Saint François y apparaît tel que le pape Nicolas V l’aurait découvert en 1449 dans la crypte de la basilique d’Assise, debout, les yeux ouverts levés vers le ciel « comme une personne vivante », selon le récit du cardinal Astergius dans une missive adressée à l’abbé Jacopo de Cavallina. Le corps du saint serait apparu au pape sans corruption, du sang frais coulant d’une plaie à l’un de ses pieds.
Présent avant la Révolution dans le couvent des Colinettes, une congrégation religieuse lyonnaise située sur la colline de la Croix-Rousse, le Saint François debout momifié du musée de Lyon fut la première œuvre de Zurbarán présente en France, sûrement dès le XVIIe siècle, ainsi que la première à avoir rejoint les collections d’un musée français, dès 1807.
Devenu depuis l’une des pièces maîtresses de la collection de peintures, ce tableau a de tout temps frappé par sa force d’expression et par sa remarquable qualité ceux qui l’ont contemplé. Le premier directeur du musée, François Artaud, a rapporté qu’avant d’intégrer les collections du musée, « les religieuses l’avaient fait disparaître comme objet effrayant » et que lorsque M. Morand « le retrouva dans les greniers. Son chien y aboya contre ». Les générations de visiteurs, de critiques et d’artistes qui eurent l’opportunité d’admirer cette œuvre de 1807 à nos jours n’ont cessé, pour leur part, de saluer sa modernité, tout en y reconnaissant le reflet de leurs propres aspirations.
À travers cette exposition, il s’agira ainsi d’explorer les ressorts et les sources de cette création, mais aussi de recenser et d’interroger le sens des nombreux avatars de ces icônes du Siècle d’Or, grâce à la réunion d’une centaine d’œuvres créées du XVIe au XXIe siècle, aussi bien des tableaux que des sculptures, des dessins, des gravures, des photographies ou encore des pièces de haute couture.
L’exposition réunira, en effet, un ensemble d’œuvres de Zurbarán pouvant être mises directement en rapport avec cette composition, ainsi que des œuvres témoignant du développement de cette iconographie en Europe à la période moderne. Il s’agira, par ailleurs, de faire état de la prodigieuse réception de ces œuvres iconiques créées par Zurbarán auprès d’artistes des XIXe, XXe et XXIe siècles.
Cette exposition aspire à célébrer la beauté de l’œuvre de Zurbarán, mais aussi à faire la preuve de l’intemporalité des chefs-d’œuvre de la peinture ancienne, qui offrent à chaque époque des ferments pour la réflexion, la délectation et la création.
En vue de l’exposition, l’association des Amis du musée a financé l’intégralité de la restauration du tableau de Francisco de Zurbarán, Saint François d’Assise, peint en 1636.
Tarif réduit sur présentation du billet d'entrée du macLYON (de moins de 6 mois).
Tarif réduit à l'exposition pour les abonnés TCL, sur présentation de leur abonnement en cours de validité.
Tarif réduit à l'exposition pour les voyageurs de la Renfe sur présentation de leur titre de transport (valable du 5 décembre 2024 au 2 mars 2025).
Le catalogue de l’exposition est en vente à la librairie-boutique du musée. Éditions El Viso. 336 pages, 38€
12€ - 7€ - gratuit voir conditions (billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes).
Tarif réduit sur présentation du billet d'entrée du macLYON (de moins de 6 mois).
Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés.
Francisco de Zurbarán, Saint François d’Assise (détail), 1636. Lyon, musée des Beaux-Arts. Image © Lyon MBA - Photo Martial Couderette.
Owen Kydd, Moth (détail), 2015. Courtesy Owen Kydd and Monte Clark Gallery, Vancouver.
Partenaires :
Partenaires médias :
Certaines des peintures représentant Étretat ont acquis au fil du temps un statut iconique et se sont imposées dans l’imaginaire collectif. Le musée des Beaux-Arts de Lyon, en partenariat avec le Städel Museum de Francfort, présente une exposition consacrée aux représentations d’Étretat, prenant appui sur quatre œuvres majeures conservées dans les collections des deux institutions, toutes réalisées à Étretat : deux Vagues de Gustave Courbet (1869-1870), ainsi que deux peintures de Claude Monet, Le Déjeuner (1868-1869) et Mer agitée à Étretat (1883). Ces œuvres témoignent de l’importance clé de ce village de la côte normande dans l’élaboration de nouveaux langages picturaux au fil du XIXe siècle : l'exposition, à travers un ensemble de peintures, dessins, photographies et d’archives, retrace l’histoire de la découverte du village par les artistes et la construction de celui-ci en tant que paysage mythique.
Le site est découvert dans les années 1820 par les artistes romantiques, dans le sillage d’Eugène Isabey. Ils sont séduits par le sublime de ce décor, avec ses falaises et ses portes taillées dans la craie, resté préservé car à l’écart des voies de communication. Nombreux sont les artistes, français ou étrangers, à venir séjourner en ces lieux : Eugène Le Poittevin, Johann Wilhelm Schirmer, Eugène Delacroix, Camille Corot et même Victor Hugo. Étretat s’affirme alors comme l’un des centres de la nouvelle peinture. Courbet peint durant l’été 1869 plusieurs tableaux qui comptent parmi ses plus grands succès. Monet y séjourne régulièrement entre 1883 et 1886, travaillant sur le motif des falaises, saisies sous différentes lumières et à divers moments de la journée. À leur suite, Henri Matisse vient en 1920 et livre un épilogue à ce récit en entamant un dialogue avec ses deux illustres aînés. La spécificité d’Étretat est ainsi de devoir sa réputation d’abord aux peintres, puis aux écrivains qui contribuèrent à prolonger le succès croissant de ce lieu de villégiature, qu’il s’agisse d’abord d’Alphonse Karr, de Gustave Flaubert, et surtout de Guy de Maupassant, puis de Maurice Leblanc.
Alors que le site d’Étretat est aujourd’hui en péril, fragilisé par une surfréquentation touristique ainsi que par l’érosion des falaises accélérée par les effets du réchauffement climatique, l’exposition interroge notre regard sur le paysage : comment un motif s’est-il ainsi détaché, par l’impact conjugué de la littérature et de la peinture, jusqu’à investir un rôle symbolique et devenir un emblème identitaire, connu par-delà les frontières ?
Une exposition du musée des Beaux-Arts de Lyon en collaboration avec le Städel Museum, Francfort-sur-le-Main.
Alexander Eiling, responsable de l’art moderne, Städel Museum, Francfort
Stéphane Paccoud, conservateur en chef, chargé des peintures et des sculptures du XIXe siècle, musée des Beaux-Arts de Lyon
Isolde Pludermacher, conservatrice générale peintures, musée d’Orsay
avec Eva Höllerer, adjointe au responsable, art moderne, Städel Museum, Francfort
Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés.
« Tous les hommes ont un secret attrait pour les ruines » écrivait Chateaubriand. De l’Empire Romain jusqu’aux mondes imaginaires de la bande-dessinée, en passant par l’Égypte, les Amériques, jusqu’aux civilisations les plus lointaines, l'exposition Formes de la ruine établit un dialogue entre tous les types de ruines. Il s’agit d’interroger les sociétés à travers l’histoire et, en même temps, de découvrir le travail effectué par les artistes contemporains dans leur volonté de documenter et d’interpréter les ruines de nos sociétés industrielles et d’imaginer notre futur.
L’exposition s’intéresse à toutes les formes de pratiques des ruines, qu’il s’agisse de la collecte de fragments d’activités humaines sur et dans le sol, de l’aménagement d’espaces naturels à des fins mémorielles ou cultuelles, ou encore de la construction d’édifices comme les mégalithes, les pyramides et les ouvrages d’art des grands empires. L’exposition se propose d’organiser une sorte de périple des ruines, un dialogue continu entre les civilisations autour de quatre thèmes : la mémoire et l’oubli, l’équilibre entre nature et culture, le lien entre le matériel et l’immatériel, la tension entre présent et futur.
Conçue à partir de la réflexion d’Alain Schnapp, archéologue et historien, auteur de l’importante Une histoire universelle des ruines, parue en 2020, Formes de la ruine a pour ambition de proposer au public une transposition plastique et visuelle de sa pensée, avec plus de 300 œuvres présentées, des arts premiers à l’art contemporain.
Tarif réduit pour les abonnés de la carte TCL, en cours de validité, sur présentation de la carte.
Tarif réduit sur présentation du billet d'entrée du macLYON (de moins de 6 mois).
Alain Schnapp, historien et archéologue, professeur émérite à l’Université de Paris-I
Sylvie Ramond, directeur général du pôle des musées d’art, MBA | macLYON, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon, conservateur en chef du patrimoine
Assistés de Zoé Marty, conservatrice du patrimoine, musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole
Chiara Vitali, assistante scientifique, ENS Ulm / École du Louvre
Avec la participation d’Amandine Delbart, conservatrice du patrimoine stagiaire
12€ - 7€ - gratuit voir conditions (billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes).
Tarif réduit pour les abonnés Técély sur présentation de la carte.
Tarif réduit sur présentation du billet d'entrée du macLYON (de moins de 6 mois).
Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés.
Joel Sternfeld, After a flash flood, Rancho Mirage, California July 1979 (détail), Paris, Musée national d'art moderne / Centre Pompidou . Droits réservés. Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Bertrand Prévost
Où sont les femmes au musée ? Artistes, conservatrices, galeristes, restauratrices, critiques d’art, les femmes sont partout, mais souvent peu mises en valeur dans les musées et leurs collections.
C’est sur ce constat que les étudiants du master Histoire de l’art vous proposent un parcours inédit autour de quatre grandes mécènes et collectionneuses : la femme de lettres Juliette Récamier, la marquise Marie-Louise Arconati-Visconti, l'actrice Jacqueline Delubac et la chorégraphe Françoise Dupuy-Michaud.
3€ + entrée au musée
Durée de la visite : 1h30
Les étudiants du Master Patrimoine et Musée de l'Université Jean-Moulin Lyon 3 vous invitent à un dialogue avec le photographe franco-britannique Paul Edwards autour d'un choix d'oeuvres du musée.
Paul Edwards est maître de conférences à l'Université Paris Cité et chercheur associé à la Maison Française d’Oxford. Traducteur d’œuvres de fiction et spécialiste d'Alfred Jarry, il s'intéresse particulièrement aux liens entre photographie et littérature aux XIXe et XXe siècle. Il est l'auteur de Je hais les photographes ! Une anthologie de textes condamnant la photographie au XIXe siècle (Paris, Anabet, 2006).
Cette rencontre est proposée dans le cadre de l'exposition Ce qui a été, ce qui reste, présentée à la Bibliothèque de la Manufacture des Tabacs - Université Jean-Moulin Lyon 3, du 8 au 27 novembre, ainsi qu’à la Bibliothèque Diderot de l'ENS Lyon, jusqu’au 15 décembre.
Billet d'entrée + 3 euros. Pour les étudiants et professeurs de l'Université Lyon 3, entrée et médiation gratuite.
Durée de la visite : 1h
Les étudiants du Master Patrimoine et Musée de l'Université Jean-Moulin Lyon 3 vous invitent à un dialogue avec le poète belge Jan Baetens autour de La Lecture de Henri Fantin-Latour (1877) et d’un choix d’œuvres du musée.
Poète et critique, Jan Baetens est professeur d’études culturelles à l’Université de Leuven. Il est également co-fondateur de la maison d’édition Les Impressions nouvelles. Son recueil de poésies Cent fois sur le métier (2004) obtient le prix triennal de poésie de la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2007.
Cette rencontre est proposée dans le cadre de l'exposition « Ce qui a été, ce qui reste », présentée à la Bibliothèque de la Manufacture des Tabacs - Université Jean-Moulin Lyon 3, du 8 au 27 novembre, ainsi qu’à la Bibliothèque Diderot de l'ENS Lyon, jusqu’au 15 décembre.
Billet d'entrée + 3 euros. Pour les étudiants et professeurs de l'Université Lyon 3, entrée et médiation gratuite.
Durée de la visite : 1h