Découvrez une centaine d’œuvres graphiques de François Rouan explorant le thème de l’empreinte, des années 70 jusqu’à aujourd’hui.
Entrée dans collection + 3€
Durée : 1h
Découvrez une centaine d’œuvres graphiques de François Rouan explorant le thème de l’empreinte, des années 70 jusqu’à aujourd’hui.
Entrée dans collection + 3€
Durée : 1h
Dans la diversité des cultures et de leur histoire, les artistes s’emparent du thème des ruines. De tout temps l’image des ruines oscille entre grandeur et décadence, entre esthétique et réalité tragique.
Entrée au musée + 3€ / 1€
Durée : 1h30
Peintre peu connu ayant élu domicile à Chicago, Robert Guinan, profondément attaché à Henri Toulouse-Lautrec et à Edgar Degas, s’inscrit dans la lignée d’Edward Hopper. S’intéressant à la vie de ses modèles et se liant d’amitié avec eux, Guinan nous livre des portraits, des scènes de bars, des paysages urbains et des scènes de rue. Il nous transporte dans un Chicago populaire, celui des exclus, des sans-avenirs qu’il peint avec une extrême sensibilité. Guinan nous happe, nous fait nous asseoir à ses côtés pour nous faire ressentir, pour nous immerger dans l’extrême beauté d’un monde sans fard.
Entrée au musée + 3€ / 1€
Durée : 1h
Venez découvrir les plantes, fleurs et parfums d’Orient, lors d’une visite originale accompagnée d’un jardinier-botaniste et d’une médiatrice du musée.
Cette journée se déroulera en deux temps : une visite le matin (10h30) dans l’exposition Voyage en terre d’encens. Collections du Musée national – Sultanat d’Oman et les collections des Arts de l’Islam du musée des Beaux-Arts, suivi d'une visite l’après-midi (15h) au Jardin botanique de Lyon (réservation et règlement au jardin botanique).
Entrée au musée + 3€ / 1€.
Pour la visite au Jardin botanique,
voir les conditions de réservation sur le site du Jardin (+6€).
Durée : 1h
Invité par le musée à travailler à partir des œuvres de ses collections, l’artiste Éric Poitevin a eu carte blanche pour produire de nouvelles photographies en résonance avec les œuvres de son choix : Lucas Cranach, Odilon Redon, Frans Snyders, Francisco de Zurbarán...
L’artiste porte ainsi un nouveau regard sur certaines œuvres connues ou moins connues du public, en les faisant dialoguer avec son propre travail photographique. Éric Poitevin propose ainsi un parcours et un éclairage totalement inédit qui offre des perspectives aussi évidentes qu’inattendues sur son œuvre et sur les collections.
Né en 1961 à Longuyon (Meurthe-et-Moselle), Éric Poitevin est l’une des figures les plus importantes de la photographie contemporaine française. Diplômé de l’école d’art de Metz en 1985, l’une des seules formations qui proposait alors un cursus en photographie, Eric Poitevin a enseigné à l’Ecole supérieure des arts décoratifs de Strasbourg puis à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Nancy. Depuis 2008, il est professeur à l’école des Beaux-Arts de Paris. Très attaché à sa région et ses paysages façonnés par les combats de la Première Guerre mondiale, Éric Poitevin vit et travaille à Mangiennes, dans le département de la Meuse.
Éric Poitevin a très tôt privilégié la prise de vue à la chambre photographique. Cette technique implique un matériel lourd et un temps de pause long. Au-delà de ces apparentes contraintes, ce procédé impose à l’artiste d’anticiper la construction de l’image tout en offrant un rapport particulier au temps et la possibilité de développer une véritable relation avec les sujets photographiés. Avec ses séries de portraits, de nus, de paysages ou d’animaux morts, Éric Poitevin semble au premier abord reprendre le fil de la tradition picturale, en réinterprétant les grands genres qui la composent. Cependant, ses mises en scènes qui tendent à l’épure intègrent de subtils écarts vis-à-vis des images rémanentes de l’histoire de l’art : l’artiste joue plutôt avec ces références et réfute toutes filiations trop directes ou littérales. Eric Poitevin renvoie en effet à une autre histoire, celle de la photographie.
Les photographies d’Éric Poitevin sont présentes dans de nombreuses collections publiques françaises et ont notamment été exposées au FRAC île de France, Le Plateau, en 2004 (Eric Poitevin) ; au musée de la Chasse et de la Nature en 2007 (Éric Poitevin. Cerf mort) ; à la Villa Médicis, à Rome – où il a été pensionnaire en 1989-1990- en 2012 (Éric Poitevin. Photographies) ; au FRAC Auvergne en 2015 (Eric Poitevin) ; au Domaine du Trianon à Versailles en 2019 (Visible, Invisible).
Cette exposition est présentée dans le cadre du Pôle des musées d'art de Lyon, qui réunit le musée des Beaux-Arts et le musée d'art contemporain.
Sylvie Ramond, Directeur général du pôle des musées d’art MBA / MAC LYON, Directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon, Conservateur en chef du Patrimoine
Céline le Bacon, Chargée du cabinet des arts graphiques et des acquisitions XXe/XXIe siècles
Billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes
8€ / 4€ / Gratuit voir conditions
Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés.
Pour la première fois, le musée consacre une exposition-dossier à la céramique contemporaine. Des œuvres sculpturales des ateliers de La Borne des années 60 aux pièces organiques plus récentes, l’exposition propose un panorama évocateur de la création dans ce domaine, de la seconde moitié du XXe siècle à nos jours.
Des œuvres aux proportions généreuses de Jean et Jacqueline Lerat côtoient des céramiques de Joulia, Pontoreau, Virot, Dejonghe ou Champy. Autant d’artistes pionniers qui ont su maîtriser les contraintes liées au feu pour inventer des formes et des effets de surface inattendus et inscrire ainsi dans l’espace des volumes inédits. La surprise naît de la confrontation avec la création contemporaine, débordante de créativité et de couleurs.
Le musée révèle à cette occasion des céramiques récemment entrées dans les collections, suite à plusieurs donations.
En écho à l'exposition, retrouvez la présentation permanente de céramique contemporaine dans le Salon de la Norenchal, au premier étage du musée.
Entrée par les salles du Moyen Âge.
Billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes
8€ / 4€ / Gratuit voir conditions
Passe vaccinal obligatoire pour visiter le musée En savoir + Infos COVID
Ouvert du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00. Fermé le mardi et jours fériés.
Salima Hellal, conservateur en chef, en charge des Objets d'art,
musée des Beaux-Arts de Lyon
Salima Hellal
Éd. Snoeck 171 pages, 29€.
L’artiste Éric Poitevin a eu carte blanche pour produire de nouvelles photographies en résonance avec les œuvres de son choix : Lucas Cranach, Odilon Redon, Frans Snyders, Francisco de Zurbarán...
L’artiste porte ainsi un nouveau regard sur certaines œuvres des collections connues ou moins connues du public, en les faisant dialoguer avec son propre travail photographique. Éric Poitevin propose ainsi un parcours et un éclairage totalement inédit qui offre des perspectives aussi évidentes qu’inattendues sur son œuvre et sur les collections.
3€ / 1€ + entrée au musée
Tous les samedis à 10h30
Un lundi sur deux à 12h30
Un jeudi sur deux à 16h
Durée : 1h
L'exposition est terminée. Sylvie Ramond, directeur du musée, vous invite à une visite de l’exposition en vidéo (17mn).
Les musiciens du Quatuor Debussy vous convient à une découverte musicale de l’exposition :
Exposition-événement Picasso. Baigneuses et baigneurs !
Le musée propose une relecture du thème de la baigneuse dans l’œuvre de Pablo Picasso avec des contrepoints d’œuvre d'artistes du XIXe siècle qui ont influencé Picasso dans le traitement de ce sujet : Cézanne, Manet, Renoir.
D'autres artistes contemporains ou suiveurs de Picasso sont également présentés dans l’exposition alors qu'ils se sont intéressés aux baigneuses picassiennes : Francis Bacon, Henry Moore, Farah Atassi, Elsa Sahal.
De nombreuses pièces d’archives relatives aux différents séjours en bord de mer effectués par Picasso et toute une série de photographies de l’artiste et de ses proches rythment l’exposition.
Conçue en grande partie à partir du fonds exceptionnel du Musée national Picasso-Paris, l’exposition Picasso. Baigneuses et baigneurs a rassemblé près de 150 œuvres issues d’importantes collections publiques en Europe et au Canada ainsi que de collections particulières.
À l'origine de l'exposition, Femme assise sur la plage (10 février 1937) léguée au musée en 1997 par l'actrice collectionneuse Jacqueline Delubac et qui est devenue une des icônes de la collection d'art moderne du musée.
L'exposition était organisée en partenariat avec le musée national Picasso-Paris et avec le concours de la Fondation Guggenheim de Venise. Les trois institutions possèdent chacune une œuvre quasiment jumelle, exécutée en février 1937, quelques semaines avant que l'artiste ne travaille à Guernica.
Les trois Baigneuses de 1937 ont été réunies en 2018 pour la première fois depuis leur création à la Fondation Peggy Guggenheim dans l’exposition « Picasso on the Beach », puis au Musée national Picasso - Paris en 2018 dans l’exposition « Picasso. Chefs-d’œuvre ! ».
C'est grâce à l'extrême générosité des prêteurs que le musée a pu présenter cet événement majeur pour une durée exceptionnelle, jusqu'au 3 janvier 2021.
Sylvie Ramond, directeur général du pôle des musées d’art de Lyon MBA MAC, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon et
Émilie Bouvard, directrice scientifique et des collections, Fondation Giacometti, Paris, ancienne conservatrice au Musée national Picasso - Paris.
Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés.