Li Xin, Lagunes
Exposition-dossier 28 septembre - 26 novembre 2017Fonds Étienne-Martin
Exposition-dossier 8 juin 2018 - 7 janvier 2019Hommage à Jacques Truphémus
Exposition-dossier 17 février - 23 avril 2018Projections de films
Samedi 21 avril à 14h30 - auditorium du musée :
. Michel Van Zèle : Jacques Truphémus, peintre de l’impalpable, 1993 (durée 52 minutes)
. Martine Tallet et François Ribière : L’atelier de Jacques Truphémus, 2016 (durée 13 minutes)
Dimanche 22 avril à 14h30 - auditorium du musée :
. Georges Combe : Trois lumières de Truphémus, 2006 (durée 52 minutes)
. Florence Bonnier : Truphémus, 2016 (durée 53 minutes).
Soirée d'hommage à Jacques Truphémus
Projections, lectures, témoignages
Lundi 23 avril à 18h30, auditorium du musée
. Extraits de films, lectures de poèmes et témoignages de proches de l’artiste
. En présence des réalisatrices Martine Tallet et Florence Bonnier, des réalisateurs Michel van Zèle et Georges Combe.
. Témoignage de Paul Dini.
. Lecture à deux voix de poèmes d’Yves Bonnefoy par François Montmaneix et Marik Froidefond.
Erik Dietman, Opus, Oh puce, Aux Puces
Exposition-dossier 9 juin - 17 septembre 2018Bernar Venet dans le jardin du musée
21 septembre 2018 - 6 janvier 2019, en écho à l'exposition du MacDeux installations de Bernar Venet sont installées dans le jardin du musée en écho à la rétrospective présentée au MAC.
Bernar Venet, rétrospective 2019-1959
60 ans de création entre raison et intuition : la rétrospective la plus complète jamais réalisée
Le Musée d’art contemporain de Lyon présente sur 3 étages un ensemble inédit et exceptionnel de plus de 170 œuvres, des toutes dernières créations jusqu’aux premières performances, dessins, diagrammes, peintures, photographies, œuvres sonores, films et sculptures.
Antwan Horfee et Renée Lévi
Exposition-dossier 18 septembre 2019 - 5 janvier 2020Pour la 15e édition de la Biennale d'art contemporain de Lyon, Antwan Horfee et Renée Lévi investissent le musée des Beaux-Arts de Lyon, élaborant un dialogue générationnel où la peinture devient paysage.
Antwan Horfee développe un travail d’atelier qui fait se rencontrer la peinture et le dessin, la figuration et l’abstraction, toujours à la recherche d’une défaillance du geste et du motif. Teintée de cultures populaires (du graffiti aux comics des années 1930 en passant par le tatouage), l’oeuvre d’Antwan Horfee s’est récemment mise en mouvement avec ses films en dessins animés : surgissent alors des chiens mutants, des champignons vitaminés, des animaux hallucinogènes, des perspectives vertigineuses, opaques et parfois coquines, sur fond d’explosions post-apocalyptiques.
Renée Lévi élabore d'immenses tableaux et peintures murales immersives où l’architecture devient peinture et les pigments transforment l’environnement. Avec ses immenses compositions abstraites (parfois faites de lettres ou de chiffres), la peinture frappe la toile (à coups de pinceaux) ou la sature (avec la pression des sprays), l’artiste se jouant de la peinture abstraite, de l’ornementation, du graffiti, de l’écriture. Alors le geste pictural ouvre de nouveaux horizons, entre mirage et obstacle.
Mis en relation, les tableaux de Renée Lévi et le film animé d’Antwan Horfee affirment alors que la peinture - toujours instable - n’est pas une matière innocente.
Antwan Horfee est né en 1983, il vit et travaille à Paris (France).
Renée Lévi est née en 1960 à Istanbul (Turquie), elle vit et travaille à Bâle (Suisse).
Commissariat
Hugo Vitrani, curateur au Palais de Tokyo
Bloc doré - Titre
Dossier de presse
Penser en formes et en couleurs
Exposition-dossier MAC-MBA 8 juin - 5 janvier 2020L’exposition « Penser en formes et en couleurs » marque le premier temps fort du rapprochement du musée des Beaux-Arts et du musée d’art contemporain de Lyon au sein du « pôle musée » annoncé en 2018. Conçu comme un dialogue à partir des fonds XXe et XXIe siècle des deux musées, ce parcours explore la résonance des deux collections et propose un aperçu des différentes recherches des artistes modernes et contemporains autour de la couleur.
Outil de composition libératoire, vecteur de sentiments ou de projections symboliques, paysage mental, monochrome et levier pour repartir à zéro, éblouissante…la couleur est versatile et les artistes exploitent toutes ses facettes, jouant avec les sens du visiteur et sa perception. La qualité vibratoire et lumineuse de la couleur, sa capacité à créer du mouvement sur une surface pourtant plane est cependant régulièrement mise à l’épreuve. Elle disparaît cependant au profit de réflexions autour du geste, du signe, du hasard ou encore de la lumière.
Cette exposition laisse délibérément libre-cours aux associations entre les œuvres s’émancipant ainsi du cadre chronologie. Elle est construite par thématiques et valorise les résonances entres les œuvres d’art moderne et la création plus contemporaine, créant un dialogue nourri de confrontations et de dissonances. Des liens sous-jacents naissent ainsi d’affrontements et de rencontres a priori impossibles.
À travers près de 120 peintures, sculptures, installations, dessins et objets, une soixantaine d’artistes emblématiques des deux collections seront présentés parmi lesquels Georges Adilon, Robert Delaunay, Jean Dubuffet, Jean Fautrier, Lucio Fontana, Hans Hartung, Fernand Léger, Christian Lhopital, François Morellet, Olivier Mosset ou Pierre Soulages.
Cette exposition fait également en partie écho à l’exposition La couleur seule, l’expérience du monochrome, organisée en 1988 par le musée d’art contemporain situé alors au sein du Palais Saint Pierre. Elle explorait la diversité extrême des propositions artistiques autour de la pratique du monochrome. Certaines œuvres prêtées avaient à cette occasion rejoint les collections du MAC et sont présentées aujourd’hui en regard avec les œuvres du fonds du musée des Beaux-Arts, offrant ainsi de nouvelles confrontations surprenantes ou évidentes. Il est également ici question de l’histoire parallèle de deux collections qui puisent dans une même histoire – le musée d’art contemporain est né au sein du Palais Saint-Pierre - et qui se sont développées grâce à des politiques d’acquisitions reflétant la création dans toute sa diversité.
Commissariat
Céline Le Bacon, chargée du cabinet des arts graphiques et des acquisitions XX e /XXI e siècles
Hervé Percebois, responsable de la collection, musée d’art contemporain de Lyon
Sylvie Ramond, directeur général du pôle des musées d’art de Lyon MBA MAC, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon
avec le concours des équipes du musée des Beaux-Arts et du musée d'art contemporain de Lyon
Bloc doré - Titre
Dossier de presse
Invité par le musée à travailler à partir des œuvres de ses collections, l’artiste Éric Poitevin a eu carte blanche pour produire de nouvelles photographies en résonance avec les œuvres de son choix : Lucas Cranach, Odilon Redon, Frans Snyders, Francisco de Zurbarán...
L’artiste porte ainsi un nouveau regard sur certaines œuvres connues ou moins connues du public, en les faisant dialoguer avec son propre travail photographique. Éric Poitevin propose ainsi un parcours et un éclairage totalement inédit qui offre des perspectives aussi évidentes qu’inattendues sur son œuvre et sur les collections.
Billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes
8€ / 4€ / Gratuit voir conditions
Cette exposition est présentée dans le cadre du Pôle des musées d'art de Lyon, qui réunit le musée des Beaux-Arts et le musée d'art contemporain.
Commissariat :
Sylvie Ramond, Directeur général du pôle des musées d’art MBA / MAC LYON, Directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon, Conservateur en chef du Patrimoine
et
Céline le Bacon, Chargée du cabinet des arts graphiques et des acquisitions XXe/XXIe siècles
Né en 1961 à Longuyon (Meurthe-et-Moselle), Éric Poitevin est l’une des figures les plus importantes de la photographie contemporaine française. Diplômé de l’école d’art de Metz en 1985, l’une des seules formations qui proposait alors un cursus en photographie, Eric Poitevin a enseigné à l’Ecole supérieure des arts décoratifs de Strasbourg puis à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Nancy. Depuis 2008, il est professeur à l’école des Beaux-Arts de Paris. Très attaché à sa région et ses paysages façonnés par les combats de la Première Guerre mondiale, Éric Poitevin vit et travaille à Mangiennes, dans le département de la Meuse.
Éric Poitevin a très tôt privilégié la prise de vue à la chambre photographique. Cette technique implique un matériel lourd et un temps de pause long. Au-delà de ces apparentes contraintes, ce procédé impose à l’artiste d’anticiper la construction de l’image tout en offrant un rapport particulier au temps et la possibilité de développer une véritable relation avec les sujets photographiés. Avec ses séries de portraits, de nus, de paysages ou d’animaux morts, Éric Poitevin semble au premier abord reprendre le fil de la tradition picturale, en réinterprétant les grands genres qui la composent. Cependant, ses mises en scènes qui tendent à l’épure intègrent de subtils écarts vis-à-vis des images rémanentes de l’histoire de l’art : l’artiste joue plutôt avec ces références et réfute toutes filiations trop directes ou littérales. Eric Poitevin renvoie en effet à une autre histoire, celle de la photographie.
Les photographies d’Éric Poitevin sont présentes dans de nombreuses collections publiques françaises et ont notamment été exposées au FRAC île de France, Le Plateau, en 2004 (Eric Poitevin) ; au musée de la Chasse et de la Nature en 2007 (Éric Poitevin. Cerf mort) ; à la Villa Médicis, à Rome – où il a été pensionnaire en 1989-1990- en 2012 (Éric Poitevin. Photographies) ; au FRAC Auvergne en 2015 (Eric Poitevin) ; au Domaine du Trianon à Versailles en 2019 (Visible, Invisible).
Bloc doré - Titre
Dossier de presse
À la mort, à la vie !
Vanités d'hier et d'aujourd'hui - DERNIERS JOURSVanité [nom féminin (latin vanitas)] - Dictionnaire Larousse.
Littéraire : Caractère de ce qui est vain, futile, vide de sens.
Art : Composition, nature morte le plus souvent, évoquant les fins dernières de l'homme.
L’exposition présente les typologies de la vanité de la fin du XVe siècle à l’art contemporain, avec une sélection de près de 150 œuvres : estampes, gravures, dessins, peintures, sculptures et installations.
Son parcours illustre la réflexion sur la finitude de l’existence humaine et ses expressions artistiques, faisant entrer en dialogue des œuvres du musée et des collections du macLYON. Les différentes sections de l’exposition invitent à une interrogation sur le sens de l’existence et le temps qui passe, sur la vanité des prétentions humaines de transcender les limites temporelles, et présentent la célébration par les artistes de la fragilité et de la beauté de la vie.
Cette exposition est organisée dans le cadre du Pôle des musées d’art qui réunit depuis 2018 le musée des Beaux-Arts (MBA) et le musée d’Art contemporain (macLYON).
Découvrez l'exposition en vidéo
Billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes
12€ / 7€ / Gratuit voir conditions
J'y vais avec TCL ! Tarif réduit pour les abonnés Técély
Sur présentation de la carte d'abonné
Ouvert du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00. Fermé le mardi et jours fériés.
Commissariat :
Ludmila Virassamynaïken, conservatrice en charge des Peintures et sculptures anciennes, Musée des Beaux-Arts de Lyon
Catalogue :
Ludmila Virassamynaïken
Éd. Bernard Chauveau 236 pages, 39€.
Cette exposition est présentée dans le cadre du Pôle des musées d’art de Lyon MBA / MAC.
Elle s’inscrit à la suite des expositions Penser en formes et en couleurs, présentée du 8 juin 2019 au 5 janvier 2020 au musée des Beaux-Arts et Comme un parfum d’aventure, présentée du 7 octobre 2020 au 18 juillet 2021 au musée d’art contemporain.