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Édouard Pignon, Ostende, 1946-1953

Exposition-dossier 28 septembre - 26 novembre 2017
Visuel principal
Introduction

 

Considéré au début des années 1940 comme un coloriste d’une grande sensibilité, Edouard Pignon (1905-1993) est regardé par la critique comme l’un des peintres les plus prometteurs de sa génération. Il montre le désir de prendre son autonomie vis-à-vis du groupe des « Jeunes peintres de tradition française », dont font partie Jean Le Moal et Alfred Manessier et dans lequel il ne se reconnaît plus.

Dès l’immédiat après-guerre, l’artiste fait le choix d’une figuration libre et indépendante et inaugure une recherche personnelle qui marque sa différence avec les mouvements auxquels il s’intéresse. Il prend ses distances avec la scène artistique parisienne et le « tout abstrait » qui domine l’actualité et s’installe pour quelques mois à Ostende (Belgique) en novembre 1946, animé d’une volonté de renouveler sa peinture.

Séduit par « l’atmosphère délicate » du port, le « bruissement des formes », le « balancement léger de la lumière et des voiles », Édouard Pignon esquisse dans la solitude un nouveau mode de production, tournant décisif dans son œuvre. Sa peinture évolue vers un « réalisme » qui exprime à la fois les certitudes d’un style et une conviction du réel.
Pendant l’hiver 1946-1947, le changement amorcé sous le soleil méditerranéen de Collioure est confirmé par le choc esthétique provoqué par les paysages d’Ostende. Moment essentiel dans sa démarche créatrice qui ouvre la voie de la sérialité à l’ensemble de sa production, les aquarelles et les toiles - transpositions de ses sensations face aux pêcheurs travaillant dans l’air glacé - témoignent également d’une réflexion sur le mouvement. Entre féerie du paysage portuaire et climat tragique d’une ville détruite par la guerre, Édouard Pignon s’invente un chemin de découverte pour créer un nouvel espace et une nouvelle réalité de peinture.

Du 18 mai 2017 au 28 août 2017
Vidéo
Bloc dossier de l’exposition
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Li Xin, Lagunes

Exposition-dossier 28 septembre - 26 novembre 2017
Visuel principal
Introduction

Le musée accueille les créations contemporaines de l’artiste chinois Li Xin. Cette exposition, née d’une collaboration avec le Nouvel Institut Franco-Chinois, viendra éclairer les nombreux liens culturels existant entre Lyon et la Chine.

Li Xin naît en 1973 sur les berges du Fleuve Jaune. Cet immense et puissant fleuve a influencé toute son enfance, par sa présence visuelle mais aussi ses odeurs et les murmures constants de son courant. Ce « peintre de l’eau » vit entre France et Chine depuis 2002. De ces « confluences franco-chinoises », Li Xin est peut-être l’artiste le plus révélateur.

Calligraphe d’un dialogue, « entre ciel et terre », son maniement de l’eau et de l’encre crée un langage pictural singulier pour des réalisations résolument modernes, comme peuvent en témoigner ses coopérations avec la maison Hermès en 2015 et la Manufacture Nationale de Sèvres en 2016. Ce sont donc divers supports qui se font l’écho de son art – céramiques, paravents, huiles, encres... – et de son cheminement personnel.

Après des abstractions largement nourries des écoles européennes, Li Xin revient à l’encre, médium phare de la civilisation chinoise. Mais si la tradition faisait du lavis le travail du pinceau, Li Xin en fait l’image de l’eau : loin des techniques ancestrales, l’eau devient l’élément créatif de ses abstractions naturelles. C’est ainsi un renouvellement technique mais aussi spirituel que propose Li Xin au travers de ses œuvres.

Du 28 septembre 2017 au 28 novembre 2017
Vidéo
Bloc dossier de l’exposition
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Fonds Étienne-Martin

Exposition-dossier 8 juin 2018 - 7 janvier 2019
Visuel principal
Étienne-Martin
Etienne Martin, [s. d.]
Les Gémeaux
© ADAGP, Paris 2020. Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset
Introduction

Donation d'un couple de collectionneurs

8 juin 2018 au 7 janvier 2019

Après l'exposition qu'il lui avait consacrée en 2011, le musée rend hommage une nouvelle fois à Étienne-Martin, figure majeure de la sculpture moderne, suite à la donation du Secrétaire par des collectionneurs et à l'acquisition et le don de Nuit II, La Nuit Nina et Les Gémeaux par les Amis du musée.

La présentation de ses sculptures dans les collections du XXe siècle témoigne de la richesse d'un fonds qui s'est enrichi au cours de ces dernières années grâce à des achats du musée, du Cercle Poussin, des dépôts et des donations de la famille et des proches de l’artiste.

Étienne-Martin
Etienne Martin
Nuit II, 1935.
© ADAGP, Paris 2020. Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset
Étienne-Martin
Etienne Martin, [s. d.]
Les Gémeaux
© ADAGP, Paris 2020. Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset
Du 8 juin 2018 au 7 janvier 2019
Tarif
Étienne-Martin
Etienne Martin,
La Nuit Nina, 1962.
© ADAGP, Paris 2020. Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset
Bloc dossier de l’exposition
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Hommage à Jacques Truphémus

Exposition-dossier 17 février - 23 avril 2018
Visuel principal
Introduction

34 œuvres à découvrir ainsi qu'une sélection de photos noir & blanc

Dès son plus jeune âge, Jacques Truphémus fréquente le musée de Grenoble et le musée des Beaux-Arts de Lyon où il est marqué notamment par les œuvres de Jean-Baptiste Camille Corot, Eugène Delacroix, Honoré Daumier, Édouard Manet et Pierre Bonnard...

En 1941, il entre à l’École des Beaux-Arts de Lyon, aux côtés d’André Cottavoz et de Jean Fusaro. Ses premières œuvres, paysages et natures mortes, témoignent d’une sensibilité particulière pour la lumière qu’il traduit par une peinture matiériste et colorée. À partir de 1970, influencé notamment par son voyage au Japon, son travail évolue vers un dépouillement comme le montre la série des cafés. C’est autour de ce thème représenté dans les collections par Au Café (1975) que le musée des Beaux-Arts rend hommage au peintre suite à sa disparition en 2017.

truphemus-jacques_au-cafe_1975
Jacques Truphémus,
Au Café, 1975.
© ADAGP, Paris, 2021. Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset
Du 17 février 2018 au 23 avril 2018
Tarif

Projections de films

Samedi 21 avril à 14h30 - auditorium du musée :
. Michel Van Zèle : Jacques Truphémus, peintre de l’impalpable, 1993 (durée 52 minutes)
. Martine Tallet et François Ribière : L’atelier de Jacques Truphémus, 2016 (durée 13 minutes)

Dimanche 22 avril à 14h30 - auditorium du musée :
. Georges Combe : Trois lumières de Truphémus, 2006 (durée 52 minutes)
. Florence Bonnier : Truphémus, 2016 (durée 53 minutes).
 

Soirée d'hommage à Jacques Truphémus

Projections, lectures, témoignages

Lundi 23 avril à 18h30, auditorium du musée
. Extraits de films, lectures de poèmes et témoignages de proches de l’artiste
. En présence des réalisatrices Martine Tallet et Florence Bonnier, des réalisateurs Michel van Zèle et Georges Combe.
. Témoignage de Paul Dini.
. Lecture à deux voix de poèmes d’Yves Bonnefoy par François Montmaneix et Marik Froidefond.

Bloc dossier de l’exposition
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Erik Dietman, Opus, Oh puce, Aux Puces

Exposition-dossier 9 juin - 17 septembre 2018
Visuel principal
Introduction
D’origine suédoise, Erik Dietman s’installe en France en 1959 où il rencontre Ben Vautier, George Brecht et, parmi ses amis les plus proches, Robert Filliou et Daniel Spoerri.
Sans s’affilier ni au Nouveau Réalisme, ni à Fluxus, Dietman partage néanmoins avec les acteurs de ces mouvements artistiques, le goût du happening, de la spontanéité, de la provocation et de l’humour. Comme eux, il aspire à une union de l’art et de la vie et recourt volontiers à des matériaux du quotidien.

L’importante donation effectuée par la famille Robelin, se compose de vingt-deux oeuvres de l’artiste, principalement des collages et des dessins. Elle permet désormais d’évoquer Erik Dietman au sein des collections du musée des Beaux-Arts, aux côtés d’autres grands singuliers, au nombre desquels figure le sculpteur Étienne-Martin. Les deux artistes furent exposés conjointement en 2001 au Centre d’art de Tanlay.

Du 9 juin 2018 au 17 septembre 2019
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Bernar Venet dans le jardin du musée

21 septembre 2018 - 6 janvier 2019, en écho à l'exposition du Mac
Visuel principal
Introduction

Deux installations de Bernar Venet sont installées dans le jardin du musée en écho à la rétrospective présentée au MAC.

Bernar Venet, rétrospective 2019-1959

60 ans de création entre raison et intuition : la rétrospective la plus complète jamais réalisée
Le Musée d’art contemporain de Lyon présente sur 3 étages un ensemble inédit et exceptionnel de plus de 170 œuvres, des toutes dernières créations jusqu’aux premières performances, dessins, diagrammes, peintures, photographies, œuvres sonores, films et sculptures.

Du 21 septembre 2018 au 6 janvier 2019
Bloc dossier de l’exposition
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Antwan Horfee et Renée Lévi

Exposition-dossier 18 septembre 2019 - 5 janvier 2020
Visuel principal
renee-levi_elaine
Elaine
Introduction

Pour la 15e édition de la Biennale d'art contemporain de Lyon, Antwan Horfee et Renée Lévi investissent le musée des Beaux-Arts de Lyon, élaborant un dialogue générationnel où la peinture devient paysage.

Antwan Horfee développe un travail d’atelier qui fait se rencontrer la peinture et le dessin, la figuration et l’abstraction, toujours à la recherche d’une défaillance du geste et du motif. Teintée de cultures populaires (du graffiti aux comics des années 1930 en passant par le tatouage), l’oeuvre d’Antwan Horfee s’est récemment mise en mouvement avec ses films en dessins animés : surgissent alors des chiens mutants, des champignons vitaminés, des animaux hallucinogènes, des perspectives vertigineuses, opaques et parfois coquines, sur fond d’explosions post-apocalyptiques.

Renée Lévi élabore d'immenses tableaux et peintures murales immersives où l’architecture devient peinture et les pigments transforment l’environnement. Avec ses immenses compositions abstraites (parfois faites de lettres ou de chiffres), la peinture frappe la toile (à coups de pinceaux) ou la sature (avec la pression des sprays), l’artiste se jouant de la peinture abstraite, de l’ornementation, du graffiti, de l’écriture. Alors le geste pictural ouvre de nouveaux horizons, entre mirage et obstacle.

Mis en relation, les tableaux de Renée Lévi et le film animé d’Antwan Horfee affirment alors que la peinture - toujours instable - n’est pas une matière innocente.

Du 28 novembre 2012 au 31 août 2013
Tarif

Antwan Horfee est né en 1983, il vit et travaille à Paris (France).

Renée Lévi est née en 1960 à Istanbul (Turquie), elle vit et travaille à Bâle (Suisse).

Commissariat

Hugo Vitrani, curateur au Palais de Tokyo

Bloc dossier de l’exposition
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Penser en formes et en couleurs

Exposition-dossier MAC-MBA 8 juin - 5 janvier 2020
Visuel principal
Introduction

L’exposition « Penser en formes et en couleurs » marque le premier temps fort du rapprochement du musée des Beaux-Arts et du musée d’art contemporain de Lyon au sein du « pôle musée » annoncé en 2018.  Conçu comme un dialogue à partir des fonds XXe et XXIe siècle des deux musées, ce parcours explore la résonance des deux collections et propose un aperçu des différentes recherches des artistes modernes et contemporains autour de la couleur.

Outil de composition libératoire, vecteur de sentiments ou de projections symboliques, paysage mental, monochrome et levier pour repartir à zéro, éblouissante…la couleur est versatile et les artistes exploitent toutes ses facettes, jouant avec les sens du visiteur et sa perception. La qualité vibratoire et lumineuse de la couleur, sa capacité à créer du mouvement sur une surface pourtant plane est cependant régulièrement mise à l’épreuve. Elle disparaît cependant au profit de réflexions autour du geste, du signe, du hasard ou encore de la lumière. 

Cette exposition laisse délibérément libre-cours aux associations entre les œuvres s’émancipant ainsi du cadre chronologie. Elle est construite par thématiques et valorise les résonances entres les œuvres d’art moderne et la création plus contemporaine, créant un dialogue nourri de confrontations et de dissonances. Des liens sous-jacents naissent ainsi d’affrontements et de rencontres a priori impossibles.  

À travers près de 120 peintures, sculptures, installations, dessins et objets, une soixantaine d’artistes emblématiques des deux collections seront présentés parmi lesquels Georges Adilon, Robert Delaunay, Jean Dubuffet, Jean Fautrier, Lucio Fontana, Hans Hartung, Fernand Léger, Christian Lhopital, François Morellet, Olivier Mosset ou Pierre Soulages. 

Cette exposition fait également en partie écho à l’exposition La couleur seule, l’expérience du monochrome, organisée en 1988 par le musée d’art contemporain situé alors au sein du Palais Saint Pierre. Elle explorait la diversité extrême des propositions artistiques autour de la pratique du monochrome. Certaines œuvres prêtées avaient à cette occasion rejoint les collections du MAC et sont présentées aujourd’hui en regard avec les œuvres du fonds du musée des Beaux-Arts, offrant ainsi de nouvelles confrontations surprenantes ou évidentes. Il est également ici question de l’histoire parallèle de deux collections qui puisent dans une même histoire – le musée d’art contemporain est né au sein du Palais Saint-Pierre - et qui se sont développées grâce à des politiques d’acquisitions reflétant la création dans toute sa diversité.

Du 28 novembre 2012 au 31 août 2013
Tarif

Commissariat

Céline Le Bacon, chargée du cabinet des arts graphiques et des acquisitions XX e /XXI e siècles

Hervé Percebois, responsable de la collection, musée d’art contemporain de Lyon

Sylvie Ramond, directeur général du pôle des musées d’art de Lyon MBA MAC, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon

avec le concours des équipes du musée des Beaux-Arts et du musée d'art contemporain de Lyon

Bloc dossier de l’exposition
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Éric Poitevin. Invité

Visuel principal
Sans titre (Paysage d'Écosse), 2016
Éric Poitevin,
Sans titre (Paysage d’Écosse), 2016
© ADAGP, Paris, 2022. Courtesy Galerie Baronian, Bruxelles
Introduction
Invité par le musée à travailler à partir des œuvres de ses collections, l’artiste Éric Poitevin a eu carte blanche pour produire de nouvelles photographies en résonance avec les œuvres de son choix : Lucas Cranach, Odilon Redon, Frans Snyders, Francisco de Zurbarán...
L’artiste porte ainsi un nouveau regard sur certaines œuvres connues ou moins connues du public, en les faisant dialoguer avec son propre travail photographique. Éric Poitevin propose ainsi un parcours et un éclairage totalement inédit qui offre des perspectives aussi évidentes qu’inattendues sur son œuvre et sur les collections. 

 

 

Du 20 avril 2022 au 28 août 2022
Tarif

Billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes
8€ / 4€ / Gratuit voir conditions

 

 

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Information horaires

Cette exposition est présentée dans le cadre du Pôle des musées d'art de Lyon, qui réunit le musée des Beaux-Arts et le musée d'art contemporain. 

Commissariat :

Sylvie Ramond, Directeur général du pôle des musées d’art MBA / MAC LYON, Directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon, Conservateur en chef du Patrimoine 
et
Céline le Bacon, Chargée du cabinet des arts graphiques et des acquisitions XXe/XXIe siècles

 

Bloc contenu

Né en 1961 à Longuyon (Meurthe-et-Moselle), Éric Poitevin est l’une des figures les plus importantes de la photographie contemporaine française. Diplômé de l’école d’art de Metz en 1985, l’une des seules formations qui proposait alors un cursus en photographie, Eric Poitevin a enseigné à l’Ecole supérieure des arts décoratifs de Strasbourg puis à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Nancy. Depuis 2008, il est professeur à l’école des Beaux-Arts de Paris. Très attaché à sa région et ses paysages façonnés par les combats de la Première Guerre mondiale, Éric Poitevin vit et travaille à Mangiennes, dans le département de la Meuse.

Éric Poitevin a très tôt privilégié la prise de vue à la chambre photographique. Cette technique implique un matériel lourd et un temps de pause long. Au-delà de ces apparentes contraintes, ce procédé impose à l’artiste d’anticiper la construction de l’image tout en offrant un rapport particulier au temps et la possibilité de développer une véritable relation avec les sujets photographiés. Avec ses séries de portraits, de nus, de paysages ou d’animaux morts, Éric Poitevin semble au premier abord reprendre le fil de la tradition picturale, en réinterprétant les grands genres qui la composent. Cependant, ses mises en scènes qui tendent à l’épure intègrent de subtils écarts vis-à-vis des images rémanentes de l’histoire de l’art : l’artiste joue plutôt avec ces références et réfute toutes filiations trop directes ou littérales. Eric Poitevin renvoie en effet à une autre histoire, celle de la photographie.

Les photographies d’Éric Poitevin sont présentes dans de nombreuses collections publiques françaises et ont notamment été exposées au FRAC île de France, Le Plateau, en 2004 (Eric Poitevin) ; au musée de la Chasse et de la Nature en 2007 (Éric Poitevin. Cerf mort) ; à la Villa Médicis,  à Rome – où il a été pensionnaire en 1989-1990- en 2012 (Éric Poitevin. Photographies) ; au FRAC Auvergne en 2015 (Eric Poitevin) ; au Domaine du Trianon à Versailles en 2019 (Visible, Invisible).

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À la mort, à la vie !

Vanités d'hier et d'aujourd'hui - DERNIERS JOURS
Visuel principal
Introduction
Vanité [nom féminin (latin vanitas)] - Dictionnaire Larousse.
Littéraire : Caractère de ce qui est vain, futile, vide de sens.
Art : Composition, nature morte le plus souvent, évoquant les fins dernières de l'homme. 
vanité

 

L’exposition présente les typologies de la vanité de la fin du XVe siècle à l’art contemporain, avec une sélection de près de 150 œuvres : estampes, gravures, dessins, peintures, sculptures et installations.

Son parcours illustre la réflexion sur la finitude de l’existence humaine et ses expressions artistiques, faisant entrer en dialogue des œuvres du musée et des collections du macLYON. Les différentes sections de l’exposition invitent à une interrogation sur le sens de l’existence et le temps qui passe, sur la vanité des prétentions humaines de transcender les limites temporelles, et présentent la célébration par les artistes de la fragilité et de la beauté de la vie.

Cette exposition est organisée dans le cadre du Pôle des musées d’art qui réunit depuis 2018 le musée des Beaux-Arts (MBA) et le musée d’Art contemporain (macLYON). 

Découvrez l'exposition en vidéo

Du 27 novembre 2021 au 7 mai 2022
Tarif

Billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes
12€ / 7€ / Gratuit voir conditions

 

J'y vais avec TCL ! Tarif réduit pour les abonnés Técély
Sur présentation de la carte d'abonné

Acheter en ligne
Information horaires

Ouvert du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00. Fermé le mardi et jours fériés. 


 

Vidéo
Commissariat :

Ludmila Virassamynaïken, conservatrice en charge des Peintures et sculptures anciennes, Musée des Beaux-Arts de Lyon

couverture catalogue expo Vanités
Catalogue :

Ludmila Virassamynaïken
Éd.  Bernard Chauveau 236 pages, 39€.

Cette exposition est présentée dans le cadre du Pôle des musées d’art de Lyon MBA / MAC.
Elle s’inscrit à la suite des expositions Penser en formes et en couleurs, présentée du 8 juin 2019 au 5 janvier 2020 au musée des Beaux-Arts et Comme un parfum d’aventure, présentée du 7 octobre 2020 au 18 juillet 2021 au musée d’art contemporain.

Bloc dossier de l’exposition