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Exposition Lyon Renaissance

Arts et humanisme
Visuel principal
Introduction

L’exposition a révélé la richesse de la vie artistique lyonnaise au XVIe siècle. La position géographique exceptionnelle de la ville, à la rencontre des deux voies fluviales que sont le Rhône et la Saône, sur la route entre le Nord de l’Europe et l’Italie, mais aussi à proximité des contrées germaniques, explique qu’elle soit le point de convergence de marchands, d’artistes et d’œuvres issus des quatre points cardinaux.

 

L’exposition a rassemblé près de 300 œuvres, provenant des collections du musée des Beaux-Arts de Lyon et de nombreuses institutions lyonnaises, françaises et étrangères : manuscrits enluminés ou dessinés, livres, dessins, tableaux, estampes, majoliques, meubles, objets orfévrés, objets archéologiques, monnaies, médailles, émaux peints, textiles et objets en étain.

Le parcours de l’exposition se termina par un espace de médiation à l’attention du public scolaire mais accessible également à tous les visiteurs.

Les différentes sections de l'exposition

  1. Lyon, « deuxième œil de France » et « cœur d’Europe »
  2. L’humanisme lyonnais
  3. Figures de Lyon
  4. Influences italiennes
  5. Influences nordiques
  6. La contribution des artistes venus d’autres provinces
  7. La diffusion des modèles lyonnais en Europe : Bernard Salomon, le héraut de la Renaissance lyonnaise

Feuilletez des livres anciens exceptionnels

Découvrez ici le contenu numérisé d'ouvrages conservés à la Bibliothèque municipale de Lyon et présentés dans l'exposition. Pour naviguer dans les livres, cliquez d'abord sur la couverture du livre.

http://www.mba-lyon.fr/mba/sections/fr/expositions-musee/lyon-renaissance/livres-anciens

https://books.google.fr/books?vid=BML37001100451645

 Maurice Scève, La Magnificence de la superbe et triomphante entrée d'Henri II... (n° régie 93 et 94)

Cette exposition est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France. Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.
Qu'est-ce que le Label d'Intérêt national ?


Commissariat :

Ludmila Virassamynaïken, conservatrice du patrimoine, chargée des peintures et sculptures anciennes, assistée de Federica Carta.
 

Du 23 octobre 2015 au 25 janvier 2016
Information horaires

Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés. 

Affiche exposition renaissance 320x240


 

Bloc dossier de l’exposition
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Exposition Autoportraits

de Rembrandt au selfie
Visuel principal
Louis Janmot (1814-1892), Autoportrait, 1832
Louis Janmot,
Autoportrait, 1832.
Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset
Introduction

Autoportraits, de Rembrandt au selfie est la première exposition réalisée dans le cadre d'un partenariat entre la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe, les National Galleries of Scotland à Edimbourg et le musée des Beaux-Arts de Lyon.

L’exposition évoque les différentes approches de l’autoportrait du XVIe au XXIe siècle à partir d’une sélection d’œuvres en provenance de trois grands musées européens.
Véritable genre artistique, l’autoportrait apporte, au-delà des questions de style propres à chaque époque, de nombreuses informations sur la personnalité de son auteur, ainsi que sur son environnement historique et social. À une époque où la pratique du selfie est devenue un véritable phénomène de société caractéristique de l’ère du digital, questionner la tradition et les usages de l’autoportrait semble plus que jamais d’actualité.

 

L’exposition rassemble plus de 130 œuvres : peintures, dessins, estampes, photographies, sculptures et vidéos et s’articule en sept sections thématiques, interrogeant les grandes typologies de l’autoportrait et leurs évolutions au fil du temps :
- le regard de l’artiste,
- l’artiste en homme du monde,
- l’artiste au travail,
- l’artiste et ses proches,
- l’artiste mis en scène,
- l’artiste dans son temps
- et le corps de l'artiste.

L’exposition est complétée par une œuvre digitale interactive invitant le public à penser son image, Flick_EU / Flick_EU MIRROR, conçue par le Centre d’art et de technologie des médias de Karlsruhe (ZKM).

Autoportraits, de Rembrandt au selfie est présentée à la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe jusqu’au 31 janvier 2016,
puis au musée des Beaux-Arts de Lyon du 25 mars au 26 juin 2016,
et enfin à la Scottish National Portrait Gallery à Édimbourg du 16 juillet au 16 octobre 2016.

Elle bénéficie d’un soutien exceptionnel de l’Union européenne, dans le cadre du programme Creative Europe coordonné par l’Agence exécutive pour l’Éducation, l’Audiovisuel et la Culture de la Commission européenne.


Commissariat :

Pour le Musée des Beaux-Arts de Lyon
Sylvie Ramond, conservateur en chef du patrimoine, directeur, chargée des peintures et sculptures du XXe siècle et du Cabinet d’arts graphiques
Stéphane Paccoud, conservateur en chef du patrimoine, chargé des peintures et des sculptures du XIXe siècle
Ludmila Virassamynaïken, conservateur du patrimoine, chargé des peintures et sculptures anciennes

Pour la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe
Prof. Dr. Pia Müller-Tamm, directrice
Dr. Alexander Eiling, conservateur
Dr. Dorit Schäfer, conservateur, responsable du cabinet d’arts graphiques

Pour les National Galleries of Scotland
Michael Clarke, directeur de la Scottish National Gallery
Imogen Gibbon, conservateur à la Scottish National Portrait Gallery

Du 25 mars 2016 au 26 juin 2016
Information horaires

Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés. 

Bloc contenu
Gino Severini, La famille du peintre, 1936, Lyon, musée des Beaux-Arts © ADAGP, Paris 2015  © Lyon MBA – Photo Alain Basset
Gino Severini, La famille du peintre, 1936, Lyon, musée des Beaux-Arts © ADAGP, Paris 2015

Les visiteurs invités à créer leurs autoportraits

Une attention spécifique sera portée sur l’offre à l’attention des publics par l’intermédiaire de nombreuses propositions originales, ainsi que sur l’inscription de ce projet à l’ère

du numérique.

En collaboration avec le Zentrum für Kunst und Medien de Karlsruhe, institution reconnue internationalement pour la valorisation de ce champ artistique, une installation sera présente en conclusion du parcours pour inviter les visiteurs à réaliser leur propre autoportrait, tandis qu’une composition créera un gigantesque portrait aléatoire formé par la combinaison de toutes ces images. Le public sera invité à poursuivre cette expérience en ligne et sur les réseaux sociaux.

 

 

Bloc dossier de l’exposition
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Exposition Henri Matisse

le laboratoire intérieur
Visuel principal
Introduction

Tout au long de la vie d’Henri Matisse (1869-1954), le dessin occupe une place centrale, tant dans la diversité de ses moyens (crayon, fusain et estompe, plume et encre, calame ou pinceau...) que dans ses supports (feuilles de carnets, marges de lettres, ou beaux papiers).

Cette pratique assidue dans l’intimité de l’atelier a été le laboratoire de son œuvre de peintre, comme de sa sculpture — Matisse s’est souvent comparé à un jongleur ou à un acrobate, entretenant quotidiennement la souplesse de leur instrument de travail. Les dessins de Matisse environnent, précèdent, accompagnent ou prolongent les autres formes artistiques et se constituent aussi, parfois, en constellations indépendantes.

 

L’exposition présente 250 œuvres et rend compte des principaux moments de ce parcours articulés en quatorze séquences à la fois thématiques et chronologiques : des années d’apprentissage au tout début du XXe siècle, jusqu’aux études pour la chapelle du Rosaire à Vence (1948-1949), ultime chef-d’œuvre et aboutissement de toute une vie pour Matisse.

Le parcours de l’exposition évoque les points d'articulation de la pratique matissienne du dessin — du noir de l'encre ou du crayon à la blancheur modulée du

papier, de la douceur des ombres estompées à la lumière émanant des derniers dessins au pinceau, mis en regard avec les recherches sur la couleur dans la peinture ou avec le travail sur le volume dans la sculpture. Chacune des salles offre un dialogue entre dessins et peintures, gravures et sculptures ; les œuvres se faisant écho et restituant un peu de l’atmosphère des ateliers successifs: Quai Saint Michel, à Paris dès 1894, Issy-les-Moulineaux à partir de 1909, Nice à partir de 1918, et jusqu’à la mort de Matisse en 1954, à l’exception des années 1943-1948 vécues à Vence.

Le musée avait présenté les œuvres de Matisse conservées au Centre Pompidou lors de sa réouverture en 1998. Il rend, par cette exposition, un nouvel hommage à l’artiste qui en 1941, subit une opération à Lyon. Matisse en ressortira « ressuscité », riche d’une énergie nouvelle, comme en témoigne l’épanouissement de son œuvre à venir.

Particulièrement attaché à la ville, Henri Matisse donnera au musée des Beaux-Arts un ensemble de dessins de la série Thèmes et variations et de livres illustrés, qui complètent aujourd'hui, au sein des collections, deux peintures majeures : Le Portrait de l’antiquaire Georges Joseph Demotte (1918) et Jeune Femme en blanc, fond rouge (1946). Les liens de l’artiste avec Lyon seront présentés, en continuité de l’exposition, dans les collections modernes du musée.

L’exposition est organisée dans le cadre du quarantième anniversaire du Centre Pompidou. elle reçoit le soutien du Club du musée Saint-Pierre, de la Fondation Total, de SIER Constructeur, du Fonds des Célestins et pour la publication du catalogue, du Cercle Poussin.

Cette exposition est reconnue d’intérêt national par le Ministère de la culture et de la communication / Direction générale des Patrimoines / Service des musées de France.Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.


Commissariat :

Sylvie Ramond, conservateur en chef du patrimoine, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon, chargée des peintures et sculptures du XXe siècle et du cabinet d’art graphiques
Isabelle Monod-Fontaine, conservateur général honoraire du patrimoine honoraire

Du 2 décembre 2016 au 6 mars 2017
Information horaires

Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés. 

Bloc dossier de l’exposition
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Exposition Los Modernos

Dialogues France|Mexique
Visuel principal
Introduction

Après son grand succès auprès du public du Museo Nacional de Arte de Mexico (MUNAL) et du MUSA de Guadalajara, où l’exposition a été vue par plus de 200 000 visiteurs mexicains, l’exposition Los Modernos est présentée à Lyon dès le 2 décembre 2017.

 

Découvrez les liens qu’ont entretenus les plus grands noms de l’art moderne de chaque côté de l’Atlantique avec, entre autres, Léger, Picasso, Bacon, Rivera,

Siqueiros, Orozco. L’exposition Los Modernos met en regard deux scènes de l’art moderne, à travers les collections du MUNAL (Museo Nacional de Arte) de Mexico et du musée des Beaux-Arts de Lyon. Plus de 300 peintures, sculptures et photographies – une première au musée des Beaux-Arts de Lyon – mettent en lumière les correspondances et les influences entre art moderne français et mexicain, mais  également leurs ruptures et leurs spécificités.

À Lyon, l’exposition reprend le principe de l’exposition mexicaine : montrer deux collections, celles du musée des Beaux-Arts de Lyon et celle du MUNAL, comme illustrant deux scènes de l’art moderne entre 1900 et 1960.

Elle bénéficie de nombreux prêts provenant d’autres collections de musées et de collections particulières.

L'exposition s’enrichit notamment de trois dossiers :
     1/ le premier concerne le cubisme avec notamment la figure de Diego Rivera,
     2/ le second traite de l’influence des artistes mexicains sur le mouvement surréaliste en France
     3/ et le troisième s’intéresse aux regards croisés entre photographes mexicains, américains et français. L’exposition est introduite par un focus sur le patrimoine mexicain dans les collections lyonnaises (cinéma, estampes, objets ethnologiques).


Commissariat de l'exposition

Sylvie Ramond Conservateur en chef du patrimoine, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon, professeur associé à l’ENS de Lyon
Et Serge Fauchereau ; Philippe Dagen pour la section Surréalismes et Jacques Damez pour la section Photographie.

Du 2 décembre 2017 au 5 mars 2018
Information horaires

Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés. 

Galerie Le Réverbère : Exposition photo Mexique, Aller-retour

Mexique, aller-retour est conçue en écho à l’exposition Los Modernos. Dialogues France/ Mexique présentée cet hiver au musée des Beaux-Arts de Lyon et dont Jacques Damez est le commissaire associé pour la sélection dédiée aux photographies.

L’exposition que nous proposons au Réverbère se présente comme un aller-retour entre le musée et la galerie, entre continent américain et européen, entre modernes et contemporains. Trois photographes feront l’agrafe, le trait d’union entre les deux expositions : Pablo Ortíz Monasterio, Bernard Plossu, Denis Roche.

Au cours de la recherche réalisée pour former le corpus d’œuvres exposé au musée et écrire le texte du catalogue Los Modernos. Dialogues France / Mexique, un ensemble de photographes, que nous ne connaissions pas ou très mal, nous est devenu familier. Tout naturellement, par capillarité, contiguïté, des noms en appelaient d’autres, une famille visuelle qui correspond à la nôtre se constituait. Les écholalies commençaient à bruisser et notre exposition à se dessiner ; les dialogues entre les énergies, les poids du temps, les suspensions poétiques se sont concentrés en dix photographes. Ils sont mexicains (Pablo Ortíz Monasterio, Óscar Fernando Gómez), cubain (Jesse A. Fernandez), canadien (Serge Clément), belges (Thomas Chable, Baudoin Lotin), français (Françoise Nuñez, Bernard Plossu, Marc Riboud, Denis Roche).

Tous ont le Mexique en mire, ils ne cherchent pas à poser un regard prémédité sur ce pays qui, de toute façon, ne se laisse pas prendre, ils se rendent disponibles pour capter le magnétisme des lieux. Chacun est trempé dans ses sels d’argents, ils n’ont pas la même photosensibilité : ce qu’ils donnent à voir est une image intérieure, le contact foudroyant de deux présences, l’arc d’un court-circuit qu’eux seuls peuvent déclencher. Cette exposition prolonge les questions que nous nous sommes posées concernant l’importance du Mexique dans l’histoire de la photographie. Tout comme ce pays concentre de nombreux mythes : les civilisations aztèques et mayas, les différents indiens et leurs traditions, les cultes de la mort, sa révolution, sa frontière avec les États-Unis, qui font que chacun de nous a son image projetée. D’où l’attirance des artistes à aller voir ce qu’il en est.

D’ailleurs Jack Kerouac dans son fameux livre Sur la route écrit « Juste de l’autre côté de la rue, le Mexique commençait. On regarda émerveillés. À notre étonnement, ça ressemblait au Mexique. » Jacques Damez

GALERIE LE RÉVERBÈRE
38 Rue Burdeau, 69001 Lyon, France

Bernard Plossu, Mexique, 1966, Épreuve gélatino-argentique © Bernard Plossu. Courtoisie Galerie Le Réverbère, Lyon
Bernard Plossu, Mexique, 1966, Épreuve gélatino-argentique © Bernard Plossu. Courtoisie Galerie Le Réverbère, Lyon
Bloc dossier de l’exposition
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Exposition Claude, un empereur au destin singulier

(Lyon, 10 av. J.-C. - Rome, 54 ap. J.-C.)
Visuel principal
Introduction

Il y a un peu plus de 2 000 ans, le 1er août 10 av. J.-C., naissait à Lyon Tiberius Claudius Drusus, fils de Drusus l’Aîné et d’Antonia la Jeune. En dépit de son appartenance à l’illustre famille impériale julio-claudienne, Claude n’aurait jamais dû régner sur le vaste empire romain. Le destin en a voulu autrement car, 51 ans plus tard, il fut proclamé empereur par la garde prétorienne après l’assassinat de Caligula, en 41 de notre ère.

 

L’exposition a pour ambition de mettre en lumière la vie et le règne de cet homme au destin singulier. Claude pâtit aujourd’hui encore du portrait peu flatteur transmis par la littérature antique et repris dans l’imaginaire populaire moderne. Décrit comme un être faible, influençable, diminué physiquement et intellectuellement, son image souffre aussi de la « sulfureuse » renommée de ses troisième et quatrième épouses, Messaline et Agrippine, et du destin tragique de son fils Britannicus.

Depuis peu cependant, les chercheurs et les historiens restituent la figure d’un homme cultivé, bon gestionnaire, promoteur de réformes administratives efficaces pour l’empire et soucieux de son peuple. Sa loi la plus fameuse est sans nul doute celle relative à l’admission des Gaulois au sénat romain, célèbre par le discours qu’il prononça, en 48 à Rome, gravé sur des plaques de bronze, dites Table claudienne.

D’alliances en stratégies politiques jusqu’aux grandes réalisations de son règne, c’est ce nouveau visage de l’empereur Claude que l’exposition présentera à travers plus de 150 oeuvres : statues, bas-reliefs, camées et monnaies, objets ; de la vie quotidienne, peinture d’histoire, etc.

Des extraits de films, des restitutions 3D et des photographies de l’artiste Ferrante Ferranti complèteront le parcours, pour inviter le visiteur à la redécouverte d’un homme dont, de manière inattendue, le destin décida qu’il serait un grand empereur romain.


Commissariat :

Geneviève Galliano, conservateur en chef du Patrimoine, en collaboration avec Hugues Savay-Guerraz, directeur de Lugdunum-musée romain de Lyon, et François Chausson, professeur d’histoire romaine, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Du 1er décembre 2018 au 4 mars 2019
Information horaires

Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés. 

affiche
Bloc contenu
L'esprit des ruines, photographies de Ferrante Ferranti

Du 1er décembre au 3 mars 2019

En résonance avec l'exposition Claude présentée au musée, Lugdunum - musée et théâtre romains accueille des photographies de Ferrante Ferranti. L'exposition propose de découvrir le travail de l'artiste à travers une série de tirages sur le thème de l'architecture antique, en écho à des gravures de l'artiste Piranèse (XVIIIe siècle). Photographe voyageur, Ferrante Ferranti s'intéresse à l'esthétique de l'Antique. Ses photographies dialoguent souvent avec les textes de l'écrivain Dominique Fernandez, de l'Académie française, qui le définit comme "l'inventeur d'un langage qui relie le soleil aux ruines, en quête du sens caché sous les formes".

 

Bloc dossier de l’exposition
Bloc contenu 2

 

Cette exposition est reconnue d’intérêt national
par le Ministère de la Culture /Direction générale des Patrimoines / Service des musées de France.
Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.

 

 

Avec la participation exceptionnelle du musée du Louvre.
Elle a reçu le mécénat de la Fondation de l'Olivier, des sociétés Archipolis, Hudson Capital Management, P.R.I.S.M.E., Roosevelt Gestion Privée, RSM France pour le catalogue ainsi que de Lyon Parc Auto et du Cercle Poussin.


Cette exposition sera présentée d’avril à octobre 2019 à Rome, au musée de l’Ara Pacis.

Partenaires

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L'Odyssée moderne de Louis Bouquet

En partenariat avec la Faculté de droit de l’Université Lumière Lyon 2 et l'Institut Art Droit Culture de l'Université Jean-Moulin Lyon 3
Visuel principal
Introduction

Le musée des Beaux-Arts de Lyon présente une exposition-dossier consacrée au peintre Louis Bouquet (1885-1952) qui compte parmi les figures majeures de la première moitié du XXe siècle à Lyon et est l’un l’un des acteurs principaux du renouveau de la peinture à fresque en France dans l’entre-deux-guerres. 

Élève d’Auguste Morisot à l’École des Beaux-Arts de Lyon, puis de Marcel-Lenoir à Paris, collaborateur de Maurice Denis sur le chantier du Théâtre des Champs-Elysées, peintre, graveur et illustrateur, Louis Bouquet s’impose dans l’entre-deux-guerres comme l’un des plus brillants décorateurs français en s’associant la complicité d’architectes de renoms tels que Michel Roux-Spitz, Paul Tournon ou encore Albert Laprade. Son art monumental s’illustre sur les chantiers les plus prestigieux des années 1930 : le salon de l’Afrique au musée des Colonies (1931) et l’église du Saint-Esprit à Paris (1933), le nouvel hôtel de ville de Puteaux (1934), ainsi que la Grande Poste de Lyon (1937).

 

Si les grands décors du peintre forment la partie la plus visible de son œuvre et firent sa célébrité contemporaine, sa production de chevalet de même que son œuvre gravé restent à découvrir. Autour de la donation de Tristan et Iseult (1921) et du dépôt d’Orphée charmant les animaux (1920), consentis par la famille de l’artiste en 2014, l’exposition se propose d’aborder la question de la résurgence du mythe chez l’artiste au cours des premières décennies du XXe siècle. Les séries magistrales que Bouquet consacre à ses figures héroïques de prédilection – de Piétà (1910), encore redevable à l’esthétique de Maurice Denis, jusqu’à l’Orphée se régénérant à la source primitive africaine du palais des Colonies (1931) – sont autant de témoins de ses spéculations plastiques et poétiques ; les nombreux autoportraits – dont un choix sera présenté dans l’exposition – participant à l’affirmation de cette mythologie personnelle. 

Rassemblant près d'une trentaine d’œuvres présentées au public pour la première fois depuis la mort du peintre et issues du fonds familial, de collections particulières et de collections publiques, l’exposition s’attachera notamment à illustrer la diversité des techniques abordées par l’artiste, qu’il s’agisse de la peinture à l’huile, de la fresque, du dessin ou encore de la gravure sur bois. 

L’exposition sera également l’occasion des souligner les liens d’amitié qui unirent Bouquet à Joseph Bernard, l’influence du sculpteur se décelant particulièrement dans la production graphique des années 1910-1920.
 

Cette exposition est organisée en partenariat avec le musée de l’Imprimerie et de la Communication graphique, qui présente une sélection de bois gravés de l'artiste. 


Commissariat :

Jean-Christophe Stuccilli, attaché de conservation du patrimoine, chargé des relations avec l'enseignement supérieur

Du 19 mai 2021 au 29 août 2021
Tarif

Billet donnant accès à l'exposition et aux collections permanentes
8€ / 4€ / Gratuit voir conditions

Acheter en ligne
Information horaires

Horaires en fonction de l'évolution des consignes sanitaires. En savoir + sur les mesures du 21 juillet 2021


Le restaurant-salon de thé est ouvert du mercredi au dimanche de de 12h à 19h (le dernier client est accueilli jusqu’à 18h30, heure de dernière commande et dernier encaissement). Service de restauration (pas de service de café ou boisson) entre 12h et 15h. A partir de 15h, il assure uniquement un service boissons. Fermé les lundi et mardi.
Réservation : 04 78 39 19 65.

bouquet AUTOPORTRAIT
Louis Bouquet,
Autoportrait au papier-peint, vers 1918.
Collection particulière, © ADAGP, Paris, 2021. Image © Lyon MBA - Photo Martial Couderette
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Hippolyte, Paul, Auguste : Les Flandrin, artistes et frères

Visuel principal
Introduction

Trois artistes, trois frères, trois destins d’exception !

Déambulez dans l'exposition qui s'est déroulée du 19 mai au 5 septembre 2021 en compagnie de Stéphane Paccoud, co-commissaire de l'exposition, conservateur en chef Peintures et sculptures du 19e siècle, musée des Beaux-Arts de Lyon et de Elena Marchetti, co-commissaire de l'exposition, conservateur, Fondazione Musei Civici, Venise.

 

 

Hippolyte (1809-1864), Paul (1811-1902) et Auguste (1804-1842) Flandrin comptent parmi les artistes les plus importants de la scène artistique à Lyon au XIXe siècle. Des trois frères, Hippolyte est le plus célèbre. Élève préféré de Jean Auguste Dominique Ingres, il se distingue en tant que peintre d’histoire et par de grands décors. Il compte également parmi les portraitistes les plus recherchés de son temps. Son frère cadet, Paul, se consacre lui aussi à ce genre mais son domaine de prédilection est le paysage. Le plus âgé, Auguste, demeure le moins connu, en raison d’un décès prématuré.

 

Le musée des Beaux-Arts de Lyon conserve dans ses collections un ensemble de près de deux-cents œuvres des trois artistes, peintures, dessins, photographies, qui constitue une source de référence pour la connaissance de leur travail. Complété de nombreux prêts, celui-ci a été au cœur de cette exposition, qui s’est attaché à présenter ces trois artistes sous un jour inédit, à la lumière de récentes découvertes. Elle s’est articulé en thématiques – les autoportraits et portraits croisés, l’étude du modèle, l’histoire, le paysage, le portrait, le grand décor - qui chacune ont mis en lumière un aspect du travail des trois artistes, en insistant sur la dimension essentielle de leur mutuelle et constante collaboration. Un accent tout particulier a été mis sur le processus créateur, en rassemblant peintures et dessins, en recréant de véritables séquences donnant à voir la genèse progressive d’une composition dans l’atelier.

Visite virtuelle de l'église saint Germain des Prés

Alors que s'est achevée en 2020 la restauration des décors de l’église Saint-Germain-des-Prés à Paris, l’un des points d’orgue de la carrière d’Hippolyte Flandrin, une découverte exceptionnelle et immersive de ces peintures fut proposée grâce à une numérisation réalisée par les équipes d’Iconem.

En prélude à l'exposition, découvrez le décor d'Hippolyte Flandrin à l'église Saint-Germain-des-Prés

Cette exposition a bénéficié du soutien de FRench American Museum Exchange (FRAME), réseau dont le musée des Beaux-Arts de Lyon est membre, ainsi que d’un partenariat avec la Ville de Paris.

Cette exposition a été reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture. Elle a bénéficié à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.


Commissariat :

Elena Marchetti, conservateur, Fondazione Musei Civici, Venise,

Stéphane Paccoud, conservateur en chef, chargé des peintures et sculptures du XIXe siècle, musée des Beaux-Arts de Lyon

Du 19 mai 2021 au 5 septembre 2021
Bloc dossier de l’exposition
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Exposition L'art et la matière

Prière de toucher
Visuel principal
Introduction

L’ art et la matière. Prière de toucher propose à tous une nouvelle expérience de visite : découvrir la sculpture par le toucher. Basé sur l’expérience de personnes déficientes visuelles, le concept de l’exposition vous propose une nouvelle façon d’apprécier la sculpture, bouleversant les codes de visite habituels au musée. Grâce à dix reproductions d’œuvres à toucher, le musée vous invite à une découverte sensorielle et sensible des techniques et matériaux de la sculpture, de l’Antiquité au XXe siècle.

 

L’art et la matière. Prière de toucher développe une exposition conçue par le musée Fabre de Montpellier en partenariat avec le musée du Louvre. Fruit d’une coopération exceptionnelle menée avec des personnes en situation de handicap visuel, l’exposition s’appuie sur leur expérience sensorielle de la sculpture pour inventer de nouvelles pratiques de médiation destinées à tous les publics.

À travers quatre modules successifs :

  • « Voir autrement » ;
  • « Voir avec son corps » ;
  • « Prière de toucher » ;
  • « L’atelier du sculpteur »,

le visiteur est guidé dans sa découverte tactile grâce à un audioguide. Il peut aussi expérimenter en binôme, les yeux bandés, les différents espaces et outils présentés dans la galerie tactile. 

L’intention de cette présentation est de montrer comment l’expérience du toucher offre une variété de sensations qui enrichit la compréhension des œuvres et les révèle dans toute leur dimension et leurs moindres détails.
Une approche olfactive de la poussière de pierre, de la terre mouillée et de la fonte vient compléter ce dispositif multisensoriel. 

Sensibiliser à l’altérité à travers la perception tactile des personnes aveugles et malvoyantes tout en menant une politique d’accessibilité ambitieuse en faveur des personnes handicapées est l’un des objectifs forts de ce projet. Engagée dans cette démarche inclusive et humaniste, l’organisation de coopération culturelle américaine FRAME (FRench American Museum Exchange) réunit et soutient cinq de ses musées membres, en association avec son partenaire français FRAME Développement. Fidèle à un esprit de partage en réseau, L’art et la matière. Prière de toucher a bénéficié d’expertises nord-américaines au moment de l’élaboration du projet par le musée Fabre de Montpellier, qui est aussi adhérent de FRAME. Cette exposition bénéficie du mécénat de la Maison de création Givaudan, créatrice de parfums et d'arômes. 

Cette exposition bénéficie du soutien du réseau FRAME (French American Museum Exchange).

Du 13 avril 2019 au 22 septembre 2019
Information horaires

Musée et exposition ouverts tous les jours, sauf mardi et jours fériés, de 10h à 18h, vendredi de 10h30 à 18h.
Fermeture des billetteries à 17h30. Évacuation des salles du musée à partir de 17h50.

Attention, le musée sera fermé les 25 décembre et 1er janvier. La veille, les 24 et 31 décembre, le musée et le jardin ferment à 17h.

Jardin
Comme le musée, le jardin est ouvert tous les jours sauf mardi et jours fériés de 10h à 18h, vendredi de 10h30 à 18h.

Bloc dossier de l’exposition

Partenaires

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Picasso. Baigneuses et baigneurs

Visuel principal
Introduction

L'exposition est terminée. Sylvie Ramond, directeur du musée, vous invite à une visite de l’exposition en vidéo (17mn).

 

Les musiciens du Quatuor Debussy vous convient à une découverte musicale de l’exposition :

 

Exposition-événement Picasso. Baigneuses et baigneurs !

Le musée propose une relecture du thème de la baigneuse dans l’œuvre de Pablo Picasso avec des contrepoints d’œuvre d'artistes du XIXe siècle qui ont influencé Picasso dans le traitement de ce sujet : Cézanne, Manet, Renoir.

D'autres artistes contemporains ou suiveurs de Picasso sont également présentés dans l’exposition alors qu'ils se sont intéressés aux baigneuses picassiennes : Francis Bacon, Henry Moore, Farah Atassi, Elsa Sahal.

De nombreuses pièces d’archives relatives aux différents séjours en bord de mer effectués par Picasso et toute une série de photographies de l’artiste et de ses proches rythment l’exposition.

Conçue en grande partie à partir du fonds exceptionnel du Musée national Picasso-Paris, l’exposition Picasso. Baigneuses et baigneurs a rassemblé près de 150 œuvres issues d’importantes collections publiques en Europe et au Canada ainsi que de collections particulières.

À l'origine de l'exposition, Femme assise sur la plage (10 février 1937) léguée au musée en 1997 par l'actrice collectionneuse Jacqueline Delubac et qui est devenue une des icônes de la collection d'art moderne du musée.

L'exposition était organisée en partenariat avec le musée national Picasso-Paris et avec le concours de la Fondation Guggenheim de Venise. Les trois institutions possèdent chacune une œuvre quasiment jumelle, exécutée en février 1937, quelques semaines avant que l'artiste ne travaille à Guernica.

Les trois Baigneuses de 1937 ont été réunies en 2018 pour la première fois depuis leur création à la Fondation Peggy Guggenheim dans l’exposition « Picasso on the Beach », puis au Musée national Picasso - Paris en 2018 dans l’exposition « Picasso. Chefs-d’œuvre ! ».

C'est grâce à l'extrême générosité des prêteurs que le musée a pu présenter cet événement majeur pour une durée exceptionnelle, jusqu'au 3 janvier 2021.


Commissariat :

Sylvie Ramond, directeur général du pôle des musées d’art de Lyon MBA MAC, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon et
Émilie Bouvard, directrice scientifique et des collections, Fondation Giacometti, Paris, ancienne conservatrice au Musée national Picasso - Paris.

Du 15 juillet 2020 au 15 mars 2021
Information horaires

Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés. 

 

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Exposition DRAPÉ

Degas, Christo, Michel-Ange, Rodin, Man Ray, Dürer...
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Introduction

Le musée des Beaux-Arts de Lyon conserve un dessin exceptionnel d’Albrecht Dürer étudiant un pan de draperie. Cette étude minutieuse révèle comment la souplesse d’un tissu se prête à une infinité de plis, soulignés par des jeux d’ombres et de lumières.

 

Le dessin fut au cœur de l’exposition tout en étant confronté à d’autres techniques. À travers ce médium, le public fut littéralement emporté à l’intérieur des ateliers d’artistes les plus remarquables tels que Nicolas Poussin, Gustave Moreau ou Ingres. Le travail de dessinateurs moins connus fut aussi mis à l’honneur. Avec l’invention de nouveaux médiums artistiques comme la photographie, l’élaboration patiente d’une draperie semble appartenir à un régime esthétique révolu. 


Commissariat :

Sylvie Ramond, directeur général du pôle des musées d’art de Lyon MBA MAC, directeur du musée des Beaux-Arts de Lyon et
Éric Pagliano, conservateur du patrimoine au C2RMF, connaisseur et spécialiste des processus de création.

Du 30 novembre 2019 au 8 mars 2020
Tarif

Tarif : 12€ / 7€ / gratuit 

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Information horaires

Exposition ouverte du mercredi au lundi de 10h à 18h, le vendredi de 10h30 à 18h00.
Fermée les mardis et jours fériés. 

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